La tache - Histoires de Sexe

La tache

... avec son visage sans maquillage et ses cheveux tout fous.

Elle est déjà allongée sur le lit quand je commence enfin à me déshabiller, beaucoup plus laborieusement il est vrai. Je pose mes habits où je peux, essayant d’éviter le sol poussiéreux et une fois en boxer je me dirige vers le lit pour me coucher.

— Retire ton slip, fais pas de chichi. J’ai déjà vu une bite, tu sais ! On est bien mieux sans slip pour dormir.

À contrecœur, j’obtempère, mal à l’aise, d’autant plus qu’elle ne se gêne pas pour me mater. J’ai honte de ma queue, même si je sais qu’elle n’est pas spécialement modeste. Mais je ne suis pas spécialement libéré, gardant en moi les vieux complexes de mon enfance. Une fois nu je viens vite me coucher à la place qui m’est attribuée et Sylvaine coupe vite la lumière, mettant ainsi fin à mon supplice.

— Bonne nuit camarade, me lance-t-elle avec humour, fais de beaux rêves.
— Bonne nuit Sylvaine.

Sur ce, elle se tourne de son côté tandis que je reste sagement du mien.

Mais j’ai du mal à trouver le sommeil, un mélange de migraine et d’excitation sexuelle. J’imagine que sa chatte est encore collante du sperme de son amant, je ne l’ai pas vue s’arrêter dans la salle de bain, elle a juste fait une halte aux toilettes pour pisser à grands jets avant de me laisser la place et m’a attendu patiemment derrière la porte avant que nous montions. J’imagine que si ce n’est pas une accroc du ménage ce n’est pas non plus une addicte de la toilette. D’ailleurs, ...

... allongé à côté d’elle, je hume des odeurs de sexe que j’imagine, mélange de sperme et de cyprine. Au lieu de me dégoûter, cette évocation ne fait que m’exciter un peu plus, mon sexe devient raide et, puisqu’elle est tournée, j’ose amorcer une branlette.

Ah putain, j’ai envie d’elle ! Comment a-t-elle pu imaginer que dormir nu près d’elle en tenue d’Ève ne pourrait pas causer chez moi des envies ? Surtout qu’entre ses cuisses elle n’a rien à envier à l’origine du Monde, cela semble même plus luxuriant et surtout plus étendu, ça aussi ça m’excite, une femme très poilue, 100 % naturelle, exacerbe mon désir sans oublier ses poils sous les bras. Je m’en branle de plus belle, ne faisant même plus attention à ne pas faire de bruit.

Soudain, elle se retourne et éclate de rire, mettant fin à ma branlette :

— Tu ne devrais pas faire ça tout seul, reproche-t-elle, moi aussi j’ai envie !

L’instant d’après elle saisit ma trique et l’astique avec délicatesse :

— Joli morceau, consent-elle. Quand je t’ai vu nu tout à l’heure ça m’a tout de suite donné des idées. Attends une seconde, je rallume.

Et quand elle revient vers moi c’est pour m’emboucher sans plus attendre. Ma bite raidit encore entre ses lèvres expertes. Elle m’avale au plus profond en me palpant les couilles. Oh la vache, elle suce bien en plus… exactement ce qu’il faut pour faire monter la pression. Mais comme elle sent que ça vient et qu’elle veut me faire durer, elle revient lentement vers ma bouche pour me ...