1. La tache


    Datte: 04/02/2022, Catégories: fh, poilu(e)s, sales, odeurs, Oral Auteur: Foretdorient, Source: Revebebe

    ... c’est une vieille maison qui ne laisse pas trop passer les bruits sinon tu m’aurais entendu gémir et tu te serais posé des questions (elle a un petit rictus moqueur au coin des lèvres).
    
    Elle me dévoile sa sexualité en toute simplicité et sans aucune censure, j’en suis passablement gêné.
    
    — Est-ce que tu aimerais boire un peu de gnôle pour faire passer tout ça ? C’est bon pour la digestion.
    
    J’ai à peine le temps de répondre qu’un petit verre d’eau-de-vie est posé à la place de mon assiette qui, de son côté, rejoint négligemment l’évier déjà plein de vaisselle sale.
    
    Elle s’en sert un également :
    
    — Allez cul sec ! Ça va nous faire du bien.
    
    Elle a une bonne descente, un verre, deux verres, trois verres… plus question pour moi de reprendre la route.
    
    — Et toi, tu ne m’as pas dit, tu vis seul ?
    — Oui, depuis que j’ai largué ma copine, j’avais envie de tremper mon biscuit ailleurs, ai-je ironisé, un peu penaud à cause de cet humour à quatre sous.
    — Pas bien ça (faisant mine de me gronder) ! Et alors, ce biscuit, tu le trempes souvent ?
    — Depuis six mois, avec le Covid, c’est compliqué, mes anciennes maîtresses préfèrent attendre avant de me recevoir à nouveau. Mais en 2019, j’en ai bien profité.
    — Ah les hommes, tous les mêmes ! Mais tu as raison, le sexe c’est important.
    
    Sur ce, elle se lève et finit de débarrasser la table.
    
    — Je crois que je suis un peu trop pompette pour préparer un autre lit… Ça te gênerait de dormir avec moi ?
    
    Et devant mon air ...
    ... ahuri, elle ajoute avec une pointe de malice :
    
    — En tout bien tout honneur, bien entendu. Il n’est pas question de chevauchée fantastique… J’ai déjà donné pour aujourd’hui, précise-t-elle avec légèreté.
    
    Et nous voici tous les deux gravissant l’escalier, j’ai un peu mal au crâne, l’effet de l’alcool de fruits. Arrivés sur le palier je lui demande :
    
    — Elle est où la salle de bain ?
    — Elle est au rez-de-chaussée, derrière la cuisine, répond-elle avec une pointe de lassitude, comme si je n’avais pas pu y penser avant.
    
    Manifestement, ça la fait chier de devoir redescendre. Bien entendu, je n’ai pas ma brosse à dents avec moi, mais je me serais bien rincé le gosier, car j’ai la bouche pâteuse. Enfin tant pis, pas grave, restons-en là ! Heureusement que je suis allé pisser avant de monter, car il n’y a pas non plus de toilettes à l’étage.
    
    Sa chambre, au papier peint sinistre et défraîchi, est un véritable capharnaüm, les vêtements traînent à même le sol et manifestement Sylvaine n’est pas une experte du ménage, car des moutons de poussière s’entassent dans tous les coins.
    
    — Je te préviens, je dors à gauche, précise-t-elle en retirant négligemment sa robe.
    
    Effectivement, elle était toute nue dessous. Elle exhibe sans complexe une touffe brune très fournie dont les poils noirs débordent de son pubis. Et sous ses aisselles, la pilosité n’est pas en reste et n’a jamais dû rencontrer la lame d’un rasoir. Brut de décoffrage et 100 % naturelle, donc… Ce qui cadre bien ...
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