1. Dernier recrutement et espionnage


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, voyage, collection, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Sonia refusa de faire pipi debout, au-dessus de la cuvette, car elle allait en foutre partout et qu’elle avait pas du tout envie de nettoyer après ! On se retrouva donc dans la petite cour, pavée d’autobloquants. Sonia me murmura un drôle de truc à l’oreille, les joues rosies par la honte.
    
    Bien campée sur ses jambes écartées, la toison rousse encore humide, les bras ballants le long du corps, les reins légèrement cambrés, elle laissa d’abord échapper un minuscule filet. Sonia m’invita ensuite du regard à exécuter son idée folle… Je me plaçai donc à ses côtés et, obéissant à sa requête, j’introduisis mon gros index poilu… bien au fond de son minuscule trou du cul. Dès que mon doigt commença à voyager vigoureusement dans son ventre, un jet puissant émergea de son minou. Il s’écrasait sur les pavés, en un splendide arc de cercle irisé par le soleil. Visiblement, la nouvelle candidate prenait un super pied !
    
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    Ce samedi-là se présentait sous les meilleurs hospices, mais il se termina en peau de chagrin : mon épouse, radieuse, m’annonça qu’un super week-end prolongé à Istanbul était programmé par une association culturelle. Non seulement elle voulait que je l’accompagne mais en plus je devais payer la totalité exorbitante des deux participations car ma chère épouse avait dilapidé tout son compte épargne. Quand je lui fis savoir que, pour le même prix, je pouvais passer dix jours, all included, les pieds dans l’eau, dans n’importe quelle île grecque des Cyclades, ...
    ... que je partirais seul si elle n’avait pas le sou… ce fut l’orage, la tornade, le cyclone tourbillonnant. Bref, la super grosse scène de ménage qui ne se termina pas du tout, mais alors pas du tout du tout, sur l’oreiller.
    
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    Juin, un vendredi. Je venais de déposer mon épouse et sa copine à l’aéroport de Lille-Lesquin, destination Istanbul. Le garçon de café me sert un demi pression en terrasse. La vie est belle, le temps est splendide, c’est la foule des grands jours qui circule dans les rues piétonnes, tout autour de la grand place pavée de la métropole nordiste.
    
    La grande sauterelle de Brigitte, les bras encombrés, jouait des coudes pour me rejoindre, car elle m’avait aperçu. Avec ses talons hauts et son chignon, Brigitte flirte avec mon mètre quatre-vingt-trois, alors les gens s’écartaient en faisant la gueule pour la laisser passer. Brigitte est la tête pensante et le fer de lance de la liste de nos adversaires. C’est d’ailleurs la seule fréquentable car je sais qu’elle est intègre et généreuse. Brigitte visite les malades qui n’ont plus de famille dans les hôpitaux, elle est bénévole aux Restos du Cœur, elle fait du soutien aux enfants en difficulté scolaire car c’est une ancienne institutrice du village.
    
    C’est d’ailleurs dans son école qu’on a fait connaissance, il y a une quinzaine d’années : je lui offrais quatre ordinateurs que ma boîte larguait pour cause de renouvellement de matériel. Brigitte avouait que j’étais son Bolchevik préféré mais qu’elle ...
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