1. Dernier recrutement et espionnage


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, voyage, collection, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... pas changé d’avis.
    
    À genoux sur le carrelage, intégralement déshabillé par ma partenaire impatiente, je soutenais dans les airs une jambe de Sonia. Assise confortablement dans le divan, ses fluettes cuisses béantes, madame se laissa brouter longuement le minou en maintenant ma tête sur son entrejambe, de peur que je ne m’interrompe, peut-être ? Je commençai à trouver le temps long, et je fus soulagé quand elle m’annonça enfin qu’elle était prête à me recevoir. Je lui répondis en escaladant le divan que moi, par contre, je ne l’étais pas encore tout à fait. Un pied posé de chaque côté des fesses de Madame, les jambes fléchies, le pénis bien en face de son visage inquiet, j’entrepris de le promener sur ses lèvres closes.
    
    — C’est vraiment nécessaire ? me dit-elle en saisissant mon phallus d’une petite main potelée.
    — C’est obligatoire et inscrit dans les conventions de Genève, lui répondis-je, outré.
    
    Elle rigola et goûta le gland, timidement, par quelques coups de langue. Sonia s’enhardit et lapa méticuleusement la longueur du membre. Finalement, quand je l’invitais à prendre ma queue dans la bouche, il n’y eut aucune réticence. Comme je n’avais pas de préservatif, un échange d’informations médicales réciproques nous rassura complètement. Les jambes ouvertes posées sur mes épaules, vautrée dans le divan, Sonia apprécia, sans retenue aucune, ma pénétration lente et profonde. Après la libération de milliers de spermatozoïdes, elle insista pour que je reste encore en ...
    ... elle, contractant les muscles vaginaux pour me garder plus longtemps. C’est à ce moment-là que le téléphone sonna plusieurs fois. Sonia n’ayant pas la moindre envie de décrocher, je me permis un bon mot, que j’estimais digne de Guitry :
    
    — Madame est occupée… au sens propre et au sens figuré.
    
    Le bide complet ! Sonia, non seulement n’avait pas compris, mais elle osa me répliquer, façon Michel Audiard :
    
    — Quand on baise, on cause pas… ça perturbe les organes !
    
    Dans la salle de bains, alors qu’on faisait tous les deux un brin de toilette, Sonia avoua que ces galipettes l’avaient vraiment soulagée et gommé en partie les récentes humiliations de son mari, maintenant cocu à part entière. Elle continua son discours, après s’être brossé les dents, en m’exprimant son désir de ne pas prolonger nos relations. On était mariés tous les deux, on avait des petits enfants, pas la peine de foutre en l’air deux vies de couple pour forniquer, de temps en temps, au risque d’être repérés et dénoncés à la vindicte populaire. Message reçu cinq sur cinq ; en plus, j’étais d’accord sur son analyse.
    
    Notre brève rencontre se termina, par hasard, dans un mélange étonnant de bonne humeur et de pornographie torride. La consommation abusive de café aidant, Sonia, encore nue, assise sur la baignoire, eut une envie pressante. Elle allait refermer la porte des WC, quand elle me vit dans l’encadrement, ne portant que mon caleçon à fleurs. Elle comprit de suite que j’étais aussi un pervers voyeur. ...
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