1. Dernier recrutement et espionnage


    Datte: 11/08/2018, Catégories: fh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, campagne, voyage, collection, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe portrait, Humour extraconj, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... coup très difficilement. Elle restait clouée sur place, tant l’agression de son mari l’avait choquée. C’était le moment idéal pour jouer le rôle de flatteur, un tantinet hypocrite, désireux de récupérer une candidate pour les municipales. J’en mis une bonne louche, et que je trouvais qu’elle faisait pas du tout son âge, et que son dernier ensemble vert amande lui allait très bien, et que sa nouvelle coiffure avec les cheveux en petites boucles frisées rousses cadrait parfaitement avec son visage, et que ses rides étaient quasiment invisibles… Sonia me répliqua en souriant, qu’elle ne croyait pas un traître mot de mes fadaises mais que j’étais l’homme le plus galant qu’elle connaisse et qu’en plus, j’avais un petit postérieur très mignon. Le grincement d’une boîte de vitesse qu’on martyrisait interrompit des confidences qui me laissèrent songeur.
    
    Adolphe commandait la manœuvre : il m’avait placé, vu que j’étais grand et costaud, au cul de l’utilitaire, à l’extérieur. Au commandement du chef, je tirais le divan de trente centimètres pendant que le couple, à l’intérieur, soulevait les pieds du meuble. Je posais ensuite l’engin sur un tréteau trois secondes, pour souffler un peu et on reprenait le processus. Adolphe était placé à l’intérieur du camion, à la droite du divan. Sa taille lui permettait de rester pratiquement debout pour soulever. Il n’en était pas du tout de même pour Sonia qui, de l’autre côté, accroupie, progressait difficilement en canard. Moi, je ne ...
    ... regrettais pas du tout cette organisation car, comme le bas du tablier n’était pas boutonné, Sonia me dévoilait entre ses jambes ouvertes son petit minou. Visiblement, dans la précipitation, elle n’avait pas eu le temps de passer une culotte. Inconsciente de sa position impudique, elle m’offrit donc, pendant cinq bonnes minutes, le spectacle sympathique de sa foufoune. La fente courte, hérissée de crêtes roses, était surmontée d’une toison clairsemée, d’un roux clair. Sonia ne remarqua mon regard lubrique qu’à la fin de l’opération, alors que son mari s’apprêtait à sortir de la camionnette pour récupérer le divan. Confuse, elle replia les bords de son tablier et referma les cuisses rapidement. Pour lui signifier que ce petit secret resterait entre nous, je lui fis un clin d’œil, exprimant ainsi ma complicité. Je ne pouvais deviner que ce clin d’œil serait interprété tout à fait différemment par la suite !
    
    Le divan, d’une étrange couleur abricot, trônait maintenant dans le salon. Sonia avait disparu pour enlever ses affreux bigoudis et retrouver sa coiffure bouclée. Je buvais un café dans la cuisine, avec Adolphe qui avait sorti un cahier d’écolier. Il y avait noté des dizaines d’ idées censées améliorer l’urbanisme de la commune, la gestion du cercle du troisième âge et la réorganisation du travail des ouvriers municipaux. En fait, Adolphe me proposait sa candidature, motivée, sur notre liste. Il fut excessivement déçu quand je lui appris qu’il avait peu de chance, vu que les ...
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