La réorganisation
Datte: 27/01/2022,
Catégories:
Collègues / Travail
amour,
Transexuels
policier,
Auteur: Samir Erwan, Source: Revebebe
... toi, tu veux me sucer…
— Non…
— Pardon ?
Elle a ri, s’est esquivée de son approche, je lui ai attrapé un poignet, l’ai ramené vers moi comme un danseur de salsa, dos à moi, ses fesses contre mon bassin, je lui bloquais les bras devant elle. J’ai glissé à son oreille :
— Tu veux que je sois violent… ?
Elle me regardait de côté, prise au piège entre mes mains :
— Oui.
J’ai fait éclater les boutons de sa chemise en tirant d’un coup sec. J’ai chopé sa queue de cheval qu’elle avait attachée sur le haut de sa tête et je l’ai fait pivoter pour qu’elle me fasse face :
— Suce-moi, lui ai-je ordonné, ses cheveux dans ma main.
Charlène tranquillement, s’est agenouillée devant moi et a sorti mon sexe après qu’elle a habilement défait mon pantalon. Je me sentais bien dans sa bouche, elle s’évertuait aussi à exceller : cela devait faire plus de trois ans que Charlène ne m’avait pas fait de fellation. Encore une fois, ça devait se passer en mission.
— Tu ne m’as pas répondu, Charlène : travailles-tu sur une autre infiltration ?
Elle m’a regardé, mon sexe dans sa bouche. De ma main tenant ses cheveux, j’ai tiré sa tête, car elle continuait à me pomper et pouvait me faire venir rapidement :
— Alors ?
— Donne-moi ton sexe, qu’elle a murmuré sans répondre à ma question.
J’ai donc accepté, donnant une pression de mon poing maintenant ses cheveux, et j’ai possédé sa bouche à coups de bassin. Une dizaine de fois, je ne sais plus. J’ai cessé mes mouvements, ai ...
... tiré vers l’arrière, Charlène a repris son souffle en une grande goulée :
— Alors ?
Elle avait des larmes aux yeux, j’avais dû y aller fort, et elle a enfin accédé à ma requête en hochant la tête :
— Oui, oui, tu m’as eue, tu l’as découvert, a-t-elle communiqué en reprenant son souffle.
— Tu vois, c’était si simple.
En disant ces mots, je l’ai pressée de se lever, elle a obtempéré, et je me suis mis dos à elle, toujours en lui tenant sa queue de cheval attachée sur le haut de sa tête.
— Déshabille-toi.
Un peu plus petite que moi, elle devait tordre son cou tout en détachant son jean, en tentant de le descendre, j’ai suivi son mouvement et ses fesses, toujours cachées par un joli petit slip noir, bombaient vers mon sexe bien droit, jaillissant de mon pantalon. Charlène a laissé tomber la chemise de bûcheron aux boutons éclatés. J’en avais assez d’attendre, elle pouvait garder ses sous-vêtements. Je l’ai donc poussée vers le sofa où j’étais assis lorsque Richard était toujours dans la pièce.
Charlène, soumise, a mis ses genoux sur les coussins, ses coudes contre le dossier. J’ai écarté son slip, son anus m’était offert, car Charlène se pliait à mes désirs : de ses deux mains, elle séparait ses fesses pour m’accueillir. J’ai émis un murmure de satisfaction, et me suis engagé dans son cul. Elle a crié, elle ne demandait que ça, je l’ai enculée avec aise, toujours tenant ses cheveux, je me suis amusé, allant rapidement des fois, tout doucement d’autres fois. ...