1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : forêt et dérapage


    Datte: 21/01/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... me suis installée à l’arrière avec Antonio.
    
    Après 10 minutes de route, l’excitation me torturait. Antonio caressait ma cuisse avec tendresse et envie, je sentis sa main remonter le long de ma cuisse, passant à l’intérieur de ma jupe.
    
    J’étais impatiente. Daniel mit un bon moment à trouver un coin tranquille, le long d’un petit chemin à peine carrossable en lisière de forêt. D’un côté une forêt dense, de l’autre un chemin, des champs à perte de vue et personne à l’horizon. La voiture stationnée au bord du chemin, à deux mètres environ de la végétation, nous servait à être hors de vue.
    
    Daniel n’avait pas perdu de vue nos ébats à l’arrière, il attendait son tour.
    
    J’étais excitée, j’enlevais donc mes vêtements, j’étais nue au milieu de la forêt, Daniel s’approcha et m’embrassa fougueusement, il massait mes fesses. Je m’agenouillais devant lui, et déboutonnais son jeans puis lui enlevais son caleçon pour libérer son gros pénis bien dur. Je le pris tout de suite en bouche et le suça passionnément. Je léchais son gland et prenais ses bourses dans ma bouche. Daniel baisait ma bouche en s’agrippant à mes cheveux, j’étais prise de hauts de cœur tant son gland car il faisait une gorge profonde,
    
    • T’aime sucer ma queue hein, salope !
    
    • Oh que oui je l’aime ta grosse bite.
    
    Antonio n’entendait pas rester spectateur. Il m’allongea sur l’herbe qui caressait mon dos et ma peau, c’était divin. Antonio se mit sur moi pour m’embrasser et me caresser. Le jeune mâle ...
    ... descendit lécher et mordiller ma poitrine, il en était complètement accro. Il commença à s’occuper de mon sexe, il me léchait passionnément, pénétrant en moi avec sa langue. Il prenait ma vulve dans sa bouche pour aspirer toujours plus de cyprine. L’orgasme ne tarda pas à venir et je jouis dans sa bouche,
    
    • OUI ! putain Antonio, c’est bon !
    
    Il remonta sur moi pour m’embrasser à nouveau, l’odeur de ma chatte se dégageait de sa bouche. J’en voulais plus, j’étais venue pour me faire prendre.
    
    Daniel l’avait compris.
    
    • J’ai envie de te baiser !
    
    • Alors vas-y défonce moi, baise moi !
    
    • T’as pas de capote ?
    
    • Non et je veux être prise sans et que vous vidiez en moi. Je suis clean. Et vous ?
    
    • Evidemment, ma belle !
    
    Il me tourna pour me mettre sur le ventre, ma poitrine était écrasée contre la terre, j’écartais les cuisses et mis mon postérieur en valeur,
    
    • Allez vas y, pénètre moi.
    
    Il frottait son gland le long de ma vulve trempée ce qui me rendit folle de sexe, je sentais son gland qui commençait à forcer l’entrer de ma chatte. Il entrait tout doucement en moi, centimètre par centimètre, écartant les parois de mon vagin. Je sentais son gland s’écraser contre le fond de ma chatte mais il continuait de pousser. Il s’appuyait contre moi, je sentais son torse contre mon dos. Il me mettait des coups de rein, tantôt doucement, tantôt énergiquement. J’étais une chienne qui se faisait baiser en pleine nature par un beau mâle, quel pied ! Je ne pouvais m’empêcher ...
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