Les blancs dessous de Nathalie
Datte: 17/01/2022,
Catégories:
fh,
fhhh,
hplusag,
bizarre,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... :
— Il est temps d’y aller. Je constate que Nathalie est en habit de circonstance, impeccable. Quant à vous, Robert, si vous pouviez mettre une chemise avec une cravate, ce serait plus de circonstance. Si vous n’avez pas de cravate, j’ai ce qu’il faut dans la voiture.
Allant me changer dans la chambre, je m’exécute. M’ayant suivi, ma femme me demande :
— C’est quoi cette histoire d’habits de circonstance ?
— Ma chérie, tu sais que certains gages sont de Patrice.
— Oui, tu me l’as déjà dit, je suis au courant qu’il t’aide pour tes cochonneries. Mais qu’est-ce qu’il vient faire ici ce soir ? Vous avez manigancé quoi, tous les deux ?
— Honnêtement, ma chérie, je ne sais pas. Je suis aussi étonné que toi que Patrice soit là.
Je prends une veste, et ma femme un gilet. Patrice nous attend dans l’allée :
— Ah, c’est nettement mieux, Robert. Quant à vous, Nathalie, vous êtes magnifique. J’ai une petite surprise pour vous. Allez, montez !
— Nous allons où ?
— C’est une surprise, je crois vous l’avoir dit.
Ma femme monte à l’arrière et moi devant. La voiture sort rapidement de l’agglomération. Nous discutons d’un peu de tout. Au début, Nathalie reste muette, puis petit à petit, elle se mêle à la conversation. Je vois bien que Patrice l’intrigue. Un homme qui fait six cents kilomètres pour ensuite nous emmener ailleurs, c’est étrange, je l’avoue.
Je finis par demander :
— Patrice, nous allons où précisément ?
— Nous nous rendons au château de Fiernour.
— ...
... Ah ? Je ne connais pas !(moi)
— Moi non plus.(Nathalie)
— Ce château est privé, interdit aux visites, et niché dans un vaste bois. Ça ne m’étonne pas que vous ne connaissiez pas. Ne vous impatientez pas, nous arrivons bientôt. Plus que cinq-six kilomètres.
La voiture file dans la campagne déserte. En y réfléchissant, je suis étonné que le conducteur sache exactement où il va, et ceci, sans GPS. Nous continuons à discuter. Puis Patrice s’engage dans un petit chemin de terre quasiment invisible de la route. Peu après, après quelques embranchements, nous arrivons face à une petite grille devant laquelle une grosse camionnette est stationnée pour empêcher l’entrée en force. Patrice abaisse sa vitre, il est aussitôt reconnu par les gardiens qui déplacent le véhicule et ouvrent la grille. Nous nous enfonçons alors dans une sombre allée bordée d’arbres majestueux, formant un tunnel végétal.
Je confie au conducteur :
— L’endroit m’a l’air bien gardé !
— C’est pour éviter les indésirables.
— On dirait que vous connaissez bien les lieux…
— Je suis déjà venu plus d’une fois… Je me suis dit que ce ne serait pas une mauvaise idée de vous faire visiter.
Au bout d’un bon kilomètre, Patrice se stationne à côté de plusieurs dizaines d’autres voitures. Malgré la nuit qui tombe, je distingue plus loin trois minibus, sans compter quelques motos. Je m’exclame :
— Houla, il me semble y avoir du monde !
— En général, environ deux cents personnes.
— Ah quand même !
— Allez, ...