Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... gémit, se masturbant comme une petite folle. J’essaye alors quelque chose de nouveau :

— Blandine… dis que tu es ma salope !
— Je… je… je suis ta salope… Oooh !
— Dis que tu adores être enculée…
— Je… ouh ! Oui, j’adore être enculée…

Je continue ma torture :

— Je veux t’entendre dire des gros mots, tout ce qui te passe par la tête…
— Ah non ! Je peux pas… je peux pas…
— Mais si, tu peux ! Allez !

Elle gémit, puis elle explose à la fois en paroles et en jouissance :

— Oh oui ! Je suis une grosse salope qui… qui adore se faire enculer ! Oh oui ! Continue ! Oh oui, baise-moi ! Ah ! Aah ! Aaah !
— Je vais te remplir le cul, petite enculée !

À mon tour j’explose, mêlant les cris aux siens. Avant de sombrer, je me dis que, finalement, les remparts de cette belle cochonne en puissance étaient assez faibles. Dommage que nous soyons déjà samedi, je ne saurais pas jusqu’à quelles turpitudes j’aurais pu la pousser…

Non, je ne saurais pas… sauf si je continue de la voir… Mais est-ce une bonne idée ?

Je m’en fiche, je suis en train de me perdre dans des nuages cotonneux, entouré de blancheur câline, de tiédeur apaisante, de quiétude rassurante…

Sortant de la chambre, je laisse Blandine se reposer un peu. En allant voir à l’accueil, je me fais accoster par la même personne que mercredi, c’est-à-dire le mari de la rousse.

— Bonjour, auriez-vous un instant à me consacrer ?
— Bonjour. Oui, je vous écoute.

Il rentre tout de suite dans le vif du sujet ...

... :

— Vous aviez raison, j’ai bien fait de surveiller discrètement ma femme. Au fait, comment aviez-vous deviné ? Vous aviez vu quelque chose ?
— Peut-être l’habitude de savoir lire sur le visage des femmes, ainsi que leurs gestes.
— C’est une capacité que je n’ai pas, hélas. Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais ça a permis de mettre les points sur les i. En étant très terre à terre, ma femme m’apporte plus de désagréments que d’agréments, même si elle est très belle.
— Dois-je comprendre que vous envisagez la séparation ?

L’homme fait une petite grimace :

— Je ne sais pas… Je pense qu’on se dirige vers un arrangement à l’amiable.
— À vous de voir… Je ne connais pas assez votre situation à tous les deux pour oser vous donner des conseils.
— En parlant de conseil, voici ma carte… Si ça ne vous dérange pas, j’aimerais pouvoir bavarder avec vous au téléphone la semaine prochaine.

Je prends la carte. Ce nom ne m’est pas inconnu. Je réalise alors qu’il s’agit peut-être d’un garagiste proche de chez moi. Je lui demande :

— Sauf erreur de ma part, ne seriez-vous pas un concessionnaire automobile et poids-lourds ?
— Oui, c’est exact ! Comment savez-vous ça ? Ce n’est pas marqué sur ma carte !
— Le monde est petit… Étant donné que nous sommes presque voisins, nous pouvons même nous rencontrer en face à face.
— J’avoue que je préfère.

Nous convenons de nous téléphoner au milieu de la semaine prochaine, pour ensuite convenir d’un rendez-vous. Ce monsieur ...