Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... c’est naturel, évident.
— Hmm-hmm…
— Tout comme c’est évident d’avaler le sperme.
— Hon !?

Je capture sa tête entre mes mains :

— Dans peu de temps, je vais éjaculer dans ta bouche. À toi de me monter que tu sais avaler.

Je la sens frémir sous mes doigts, mais elle ne proteste pas, elle ne tente pas de se dégager. Depuis dimanche, Blandine a fait des progrès. Avec une ou deux semaines de plus, elle aurait pu devenir une sacrée dévergondée. Mais il lui resterait un bon bout de chemin pour égaler ma femme.

Je sens que je ne vais plus savoir résister bien longtemps, je le fais savoir :

— Attention, ma Didine, ça va bientôt jaillir !
— Hmm, hmm…

Encore quelques lècheries dans sa bouche bien chaude, puis je me laisse aller, j’éjacule, lançant un premier jet. Blandine a un petit sursaut, mais elle garde ma verge entre ses lèvres et vaillamment, elle avale mot flot de semence. Tandis que je mollis dans sa bouche, elle continue de me servir, ayant compris qu’il convient à présent de me nettoyer. Puis je relâche mon étreinte.

Peu après, nous sommes allongés sur le lit, elle lovée contre moi :

— T’es un gros cochon, quand même !
— Tu sais que dans cette catégorie, il y a encore plus cochon ?
— Comme quoi ?
— Me faire sucer alors que je ressors de ta chatte…
— Ah oui… mais c’est le maximum.
— Si on en reste au schéma un homme une femme, tu as aussi le fait de me sucer alors que je ressors de ton cul !

Dégoûtée, elle frissonne :

— Beeerk ! Y ...

... en a qui font vraiment ça ?
— Y en a même qui font encore pires, mais je ne voudrais pas offusquer la blanche colombe que tu es.
— Faut pas demander et j’veux pas savoir. Tu parlais d’un homme et d’une femme. Tu… tu as déjà fait ça à plusieurs ?
— Oui, rappelle-toi qu’on en a parlé dimanche. Oui, j’ai déjà fait ça à plusieurs.
— Tu m’excuseras, mais dimanche soir, c’était un peu spécial ! Et… comment c’est ?
— Pour moi, c’est fantastique, mais tu devrais poser la question à Amandine pour avoir son ressenti, c’est elle la femme, pas moi.

Par la suite, plusieurs fois, je l’ai fait jouir en la pénétrant à chaque fois de façon classique. Vers la fin, je me suis offert le luxe de lui demander de me sucer alors que j’avais éjaculé en elle. Elle s’est exécutée sans difficulté. Il est vrai qu’elle était assez fatiguée de toutes ses jouissances, n’ayant pas une grande résistance à ce niveau.

Épuisée, rompue, repue, elle s’est endormie, lovée contre moi. J’avais encore de la réserve pour l’honorer encore plusieurs fois, ma femme m’ayant habitué à des joutes plus longues. Mais un bon sommeil réparateur, c’est très bien aussi.

Ce matin, au réveil, Blandine fait la moue :

— Pff, c’est déjà le dernier jour ! Ça passe trop vite !
— Ça passe toujours trop vite quand on est en vacances…

Se redressant dans le lit, elle met carrément ses seins sous mon nez :

— Occupe-toi de moi, j’ai envie que tu me fasses l’amour un bon coup !
— À ton service ! Avec ou sans grosses ...