Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... éloignés.

Dommage que je ne puisse pas faire l’amour à Blandine, ici sur la plage. Il y a beaucoup trop de monde, sans parler des enfants.

Le soir dans la chambre, je la félicite :

— Bravo, Blandine, tu t’émancipes à vitesse grand V.
— Tu parles du maillot de bain ?
— Oui, je parle de ça.
— Ben, tu sais, c’est assez facile, finalement. Surtout avec ta femme juste à côté. Elle a un côté entraînant et puis…

Posant mon T-shirt sur une chaise, je la relance :

— Et puis ?
— C’est plutôt elle qu’on voit, pas moi…
— Arrête de te dévaloriser. Tu étais très bandante ! J’en ai su quelque chose plus d’une fois !

Elle se contente de sourire. Je lui fais signe d’approcher :

— D’ailleurs, je vais te prouver à quel point je te trouve bandante !
— Pour ça, tu n’as pas à te forcer, n’est-ce pas ?

Je la capture dans mes bras, et mes lèvres lui font vite comprendre que je la désire. Il est vrai que demain, nous repartons chez nous, chacun de notre côté. Tout au plus, demain matin, je pourrais encore lui faire l’amour, mais pas plus, je suppose.

Nos lèvres se détachent, elle prend la parole :

— Je ne m’attendais pas à vivre de telles vacances…
— Pour être franc, moi non plus.
— Pourtant tu as une certaine habitude, non ?
— Par rapport à toi, oui, j’ai plus l’habitude.

Elle me repousse un peu, alors je la libère. Libre de ses mouvements, elle demande :

— Et tu as souvent l’habitude de jouer les initiateurs ?
— Souvent, ça se passe entre personnes ...

... ayant l’habitude.
— Pas trop déçu d’être tombé sur une débutante.
— Pas du tout ! Je suis même fier de moi !

Elle pouffe de rire :

— Ah ça ! Tu m’as bien dévergondée !
— Et ce n’est pas fini !

Je me déshabille complètement. Mon sexe bien raide pointe vers Blandine. Je lui demande :

— Veux-tu savoir ce qu’une dévergondée sait faire ?
— Non, mais je sens que tu vas me le dire !
— Non, nous allons faire mieux ! Tu vas le faire !
— M-moi ?
— Oui, toi. Tu en es largement capable.

Je vois bien qu’elle hésite sur la suite à donner. Alors je décide de prendre les rênes en ordonnant d’une voix sans réplique :

— Déshabille-toi et viens me sucer la bite !
— Euh… oui, Alain…

Parfois, il faut savoir donner un petit coup de pouce…

Elle ôte tous ses vêtements tandis que je m’assieds au bord du lit, jambes écartées. Préparant la suite, je dépose à mes pieds un oreiller. Contrairement à quelques jours, elle se déshabille sans trop minauder, comme si c’était devenu naturel, le tout sous mon regard. Je lui explique la suite :

— Tu vas t’agenouiller, et me sucer.
— M’agenouiller ? Mais… mais ça va faire… euh…
— Oui, ça va faire pute ou grosse salope, c’est le but du jeu.

Elle rougit un peu, mais elle s’agenouille quand même sur l’oreiller.

Ça va faire quatre-cinq minutes qu’elle me suce, agenouillée devant le lit. Parfois, il faut que je la dirige, mais dans l’ensemble, c’est une élève appliquée.

— Une débauchée sait lécher et sucer les bites. Pour elle, ...