Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... récupérons petit à petit. Blandine est lovée contre moi, telle une chatte. Elle ronronne :

— Y pas à dire, c’est épuisant, mais c’est terriblement bon !
— Et c’est juste le début, Blandine.
— Ah bon ? Ce… ça peut aller encore loin ?
— Bien sûr !
— Mais il faut être à plusieurs, non ?
— Pas besoin de faire des orgies pour aller encore plus loin… je vais te le prouver.

Sous l’œil étonné de mon amante, je m’écarte un peu d’elle, je m’allonge posément sur le dos, verge pointée vers le plafond :

— Allez, viens te mettre sur moi. Je veux voir ma bite être engloutie par ta chatte, parce que tu veux te planter dessus !
— Oh ! Tu es un gros cochon !
— Bien sûr que je suis un gros cochon. Je veux que ce soit toi qui t’empales sur ma bite, que ce soit toi qui contrôles ton plaisir !

Elle ne dit rien, rougit un peu, mais s’exécute. Peu après, elle est totalement empalée sur ma queue sur laquelle elle tressaille, s’agite, tourbillonne, tandis que je masse ses seins voluptueusement. Elle gémit doucement :

— Oh que c’est bon comme ça !
— Justement, profites-en à fond ! Ma bite est uniquement que pour toi, c’est ton sex-toy à toi !

Il ne lui faut pas longtemps pour jouir sans retenue, explosant dans mille petits cris inarticulés. Puis vaincue, elle s’affale sur moi, nichant son nez dans le creux de mon cou. Après un certain temps, elle finit par murmurer :

— Mais qu’est-ce que tu me fais faire !
— Uniquement te faire jouir. Tu es magnifique quand tu jouis !
— ...

... Tu… t’exagères !
— Pas du tout ! Il faudrait que je puisse filmer ton expression d’extase, et tu verrais que je ne te mens pas.
— Me filmer ? Mais… ce…

Délicatement, je caresse son dos et ses fesses :

— Juste pour te faire voir à quel point tu rayonnes. Ensuite, j’efface le fichier, s’il le faut.
— Je ne sais pas si j’oserais me faire filmer…
— Si je puis me permettre, rembobine le film depuis dimanche soir et compare avec maintenant.
— Tu veux dire par là que je suis devenue plus… euh…
— Je veux dire par là que tu t’es libérée, que tu te laisses aller à ton plaisir. Maintenant, réponds franchement, as-tu eu l’impression d’aller plus loin en étant sur moi comme tu viens de le faire ?

Elle réfléchit un peu avant d’avouer :

— Oui et non. C’est vrai que ça a été plus intense, plus fort, mais pas vraiment différent.
— Comme si tu étais passée de la version 2. 3 à la version 2. 4 ?
— Oui, en quelque sorte.
— Très bien. Il suffit de changer une option pour que tu découvres vraiment une nouveauté.
— Ah bon ?
— Oui. Remets-toi en position comme tout à l’heure. Au-dessus de moi.
— Comme pour m’empaler à nouveau sur toi ?
— Exactement.

Elle se remet dans la même position. J’en profite pour m’emparer du lubrifiant pour en badigeonner allègrement mon pal de chair. Alors qu’elle présente l’entrée de sa fente sur mon gland luisant, je l’arrête :

— Non, non ! On va changer d’entrée…
— Changer d’entrée !?
— Oui, ton petit trou !

Elle s’exclame :

— Mon… ...