Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... et de voir si ça vaut encore le coup de rester avec votre femme.
— Si le divorce est prononcé à mes torts, je vais me retrouver à poil dans la rue ! Elle me piquera tout, jusqu’à mon dernier slip !
— Peut-être a-t-elle un amant. Dans ce cas, ce ne sera plus uniquement à vos torts.

Incrédule, il s’exclame :

— Ma femme, un amant ? Je n’y crois pas une seconde !
— Un proverbe japonais dit que le phare n’éclaire pas son pied.
— En clair ?
— Ouvrez un peu plus vos yeux, c’est tout. Votre femme, c’est bien la petite rousse qui se balade toujours avec une paire de lunettes et un sac rouge ? Et qui ne déteste pas montrer sa poitrine ?
— Euh oui… pourquoi ?
— Ouvrez grands vos yeux et observez votre femme, sans lui donner l’impression que vous la surveillez. Je pense que vous comprendrez vite où je veux en venir.

Il me regarde d’un air très dubitatif. J’en profite pour le saluer et m’éclipser.

Quand plus tard, je relate la totalité de cette rencontre à ma (vraie) femme, ça la divertit beaucoup. Elle en tire aussitôt une maxime :

— Vaut mieux faire envie que pitié…
— Tu n’as pas tort… Au fait, tout va bien avec Barnabé ?
— Il y a encore du boulot, mais c’est ça qui est amusant.

Je souris :

— Tu as toujours aimé jouer les initiatrices.
— Oui, c’est vrai, mais c’est la première fois que je récupère un élève si âgé !
— Pas faux…

Spontanément, je capture dans mes bras ma femme, la plaquant contre mon corps, et l’embrassant passionnément. Elle se coule ...

... contre moi, répondant à mes baisers. Quelques longs instants plus tard, quand nos lèvres se séparent, elle me gronde gentiment :

— T’as pas honte de me rendre infidèle à mon nouvel amant !
— T’es franchement une belle salope dans ton genre !
— Oui, mais c’est comme ça que tu m’aimes !

Que voulez-vous répondre à ça ?

Le soir venu, après une balade romantique pour se mettre dans l’ambiance, je décide de décharger à ma façon de ma frustration sur cette pauvre Blandine. Je me montre plus exigeant, décidant de montrer d’un cran dans nos pratiques intimes. Je vois bien à son air qu’elle est à la fois intimidée et émoustillée. La chanson de Madona me revient en tête : Like a virgin, touched for the very first time. Une vierge finalement allègrement consentante et qui semble avoir soif de découvrir bien des nouveautés.

Ça tombe bien, je me sens d’humeur doctorale ce soir !

Afin de la mettre en confiance, je la lutine tendrement pour commencer. Très vite, elle entrouvre ses jambes pour que ma main puisse lui donner plein de plaisir. Puis je me glisse entre ses cuisses restées largement ouvertes afin d’avoir la joie de plonger en elle et de la posséder. Une fois de plus, elle décolle dans mille petits cris étouffés, car elle ne sait pas encore se lâcher complètement, bien qu’elle n’en est plus trop loin. Tandis que son corps est secoué de tremblements, j’en profite pour l’inonder, afin de prendre totalement possession d’elle, tout en me vidant avec délectation.

Nous ...