Échanges phaéciens - Histoires de Sexe

Échanges phaéciens

... ça…

Machinalement, elle remonte le drap, puis bafouille en rougissant :

— Et… et si tu… si tu m’offrais un… un petit-déj avant le vrai petit déjeuner…
— À ton entier service ! Écarte tes jolies jambes !

Elle me regarde avec des grands yeux ronds :

— Je… je croyais que…
— Tu ne sais pas ce que je vais te faire. Écarte tes jambes, s’il te plaît.

Un peu inquiète, elle obéit. Je plonge ma tête entre ses cuisses, le nez dans ses poils bouclés, lui offrant un premier cunnilinctus de haute volée !

— Ah non ! Ah ouiii !

Elle ne me repousse pas, ses poings agrippant les draps. Avec application, j’y mets toute ma science, ma langue virevolte, lapant, câlinant, léchant voluptueusement sa fente et son petit bouton rose. Peu après, Blandine se met à jouir comme pas possible, voulant à la fois chasser ma tête ou la plaquer contre ses lèvres intimes détrempées… Elle pousse des petits gémissements entrecoupés de "non" et de "oui". Il lui faut quelques minutes pour récupérer de cette friandise.

Attendri, je contemple mon amante en train de récupérer de sa jouissance. Puis quelque temps après, je lui souris :

— Allez, debout ! Il faut aller déjeuner. Au fait, sais-tu que ta cyprine est très bonne ?

Clignant des yeux, elle rougit :

— Ah… ah non…
— Je te le dis.

Puis mes lèvres toujours maculées de ses fluides, je l’embrasse tout en la caressant voluptueusement. Elle n’oppose aucune résistance, répondant même timidement à mon baiser.

Quand nous arrivons ...

... dans la grande salle de restauration, ma femme et son amant sont déjà là. Je salue Amandine d’un petit bisou sur les lèvres, tandis que l’autre couple n’ose pas trop se regarder. C’est souvent ainsi, les premières fois, puis après ça passe. Nous nous installons à la même table.

Barnabé est parti chercher un supplément de café. Je vois que Blandine est gênée vis-à-vis de ma femme. Fidèle à son habitude, Amandine met les pieds dans le plat en demandant à sa voisine de table :

— Qu’est-ce qu’il y a, Blandine. Tu ne sais plus où te mettre parce que t’as couché avec mon homme et que t’as aimé ça ?
— Euh… il y a de ça…
— Je te signale que, moi aussi, j’ai couché avec ton homme. Donc, ça fait un partout.
— Tu utilises les mêmes expressions que ton mari, Amandine…
— C’est normal, on déteint l’un sur l’autre…

Blandine s’étonne :

— Comment tu peux dire ça comme ça, aussi facilement ?
— Parce que, justement, c’est facile. Dans la vie, tu as d’un côté les écrous, et de l’autre, tu as les vis. Et les écrous sont faits pour y mettre des vis, on appelle ça des boulons.
— Vu comme ça…

Amandine continue sa démonstration imagée :

— Mets-toi dans le crâne que si la nature n’avait pas voulu qu’il y ait des vis et des écrous, elle n’en aurait pas fait.
— Oui, mais toutes les vis ne vont pas dans tous les écrous…
— C’est vrai, mais quand une vis rentre parfaitement dans un écrou, où est le problème ? Vu ta tête, il est flagrant que ça s’est bien passé avec Alain.
— Euh… ...