1. Échanges phaéciens


    Datte: 17/01/2022, Catégories: fh, hplusag, fplusag, couplus, vacances, plage, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral préservati, pénétratio, échange, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ?
    — Imagine que tu sois célibataire, momentanément ou pas. Si nous nous rencontrions quelque part, serais-tu d’accord pour que je te fasse un brin de causette afin d’en savoir plus sur toi ?
    — Ça… ça ne me déplairait pas…
    
    Étape une franchie. Je décide de forcer un peu les choses, alors je me lève. Sous l’œil étonné de Barnabé et de sa femme, je contourne la table pour venir me poster derrière Blandine, posant mes mains sur ses épaules. Elle frissonne un peu. Je continue en marchant sur des œufs, mettant mes lèvres à la hauteur de son oreille :
    
    — Bien… Accepterais-tu que je t’invite en tête-à-tête ?
    — Et pourquoi tu voudrais m’inviter ?
    — Pour en savoir plus sur toi, pour savoir si toi et moi, ça pourrait fonctionner, pour flirter gentiment avec toi.
    — Euh… parce que je te plairais ?
    — J’invite rarement les femmes qui ne me plaisent pas. Oui, tu me plais.
    
    Barnabé me regarde d’un air assez étonné. Est-ce parce que j’ai dit que sa femme me plaisait, ou bien est-ce que sa femme semble accepter. Blandine rougit un peu :
    
    — Je… je te plais ?
    — Je n’ai pas l’habitude de mentir. Et moi, est-ce que je pourrais te plaire ?
    — Euh… oui… tu pourrais me plaire.
    
    Les joies du conditionnel sont faites pour qu’on les exploite. C’est un petit truc que j’avais remarqué, auquel les femmes sont souvent sensibles, et que j’utilise à mon avantage depuis bien des années. La serrant un peu plus, je dépose un délicat baiser sur sa tempe en disant simplement :
    
    — Merci, ...
    ... Blandine.
    — Euh… pas… pas de quoi…
    
    Je me tourne vers Barnabé :
    
    — On échange nos sièges, si tu veux bien.
    — Euh, oui, d’accord…
    
    La soirée prend alors une tout autre tournure, car je m’occupe de Blandine, comme si les autres personnes n’existaient plus. Quant à Amandine, elle fait pareil avec Barnabé, qui sourit béatement comme un gros bébé. Par trois fois, ma nouvelle conquête réclame un petit verre de liqueur, comme pour s’étourdir. Elle ne refuse pas ma main autour de sa taille ni sur sa cuisse, mais je devine qu’elle ne fera certainement pas le premier pas. Elle est comme dépassée par la situation.
    
    Peu après, main dans la main, Amandine et Barnabé regagnent les chambres. Un bras autour de la taille de Blandine, j’en fais de même, ma compagne ne sachant plus marcher très droit. Je tique un peu, car c’est une demi-victoire, je préfère quand la femme reste lucide.
    
    N’arrivant pas trop à croire en sa bonne chance, Barnabé s’empresse de disparaître dans sa chambre où l’a déjà précédé ma femme. De mon côté, délicatement, je pousse Blandine dans la nôtre, ou plutôt dans la mienne. Elle est toujours absente, dépassée.
    
    Pour s’asseoir, elle se laisse choir sur le rebord du lit. Elle avoue :
    
    — Honnêtement, j’ai honte… alors… j’ai abusé sur le kumquat…
    — Je comprends mieux… Si tu veux, on peut se faire juste un simple petit câlin, et ensuite, je te laisse dormir.
    — Tu… tu accepterais ?
    — Ce n’est pas dans mes habitudes d’abuser d’une faible femme…
    
    C’est alors qu’elle ...
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