1. Mille neuf cent soixante huit (4)


    Datte: 08/01/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Conkupiçan, Source: Xstory

    ... post traumatique lié aux combats du maquis.
    
    Mais à cette heure je ne songeais qu’au même désir sexuel qui nous animait.
    
    La douche prise je m’allongeai dans son lit . Sur son territoire en somme. Selon son désir et sa décision.
    
    Elle entra dans la chambre seulement vêtue d’un chemisier court, c’est à dire totalement nue à l’exception des épaules. Je remarquai de suite les longs tétons tout tendus très tentateurs.
    
    Elle tira les draps me laissant sur le dos et posa d’emblée sa vulve sur mon visage. Je commençais alors à lécher tout en m’occupant, fou de désir, de ses seins . Je crus tout d’abord qu’elle allait en rester là, mais sans aller jusqu’à la jouissance, elle se plaça à genoux sur ma verge tendue, les lèvres de chaque côté, et se mit à frotter sa vulve trempée et contre le membre et le clitoris contre le gland. J’étais excité et passif me contentant de jouir de ses seins durs. Ça me permit de ne pas éjaculer en avance cette fois là.
    
    Par contre maman eût d’un seul coup un orgasme intense. Pour la première fois je l’entendis émettre un râle sourd, avant qu’elle ne s’effondre sur le côté, sur le dos.
    
    Fou de désir simple, je vins contre sa hanche pour jouir grandement sur son ventre, non sans avoir pris le temps de téter le sein droit et profité de la douceur de la peau du bassin.
    
    Ce fût la dernière fois que nous avons commis l’interdit suprême. Passé l’orgasme et le désir légitime de part et d’autre je compris qu’il fallait mettre fin à cette relation ...
    ... toxique.
    
    Le sacrifice quasi rituel qui venait de se passer en était le témoignage évident. Un symbole de mort et de violence.
    
    La vie reprit son court, et la révolution commença. Je ne rejoignis le mouvement que quand les ouvriers se rapprochèrent des étudiants en droit au cours du mois de mai qui fût des plus maussade metéorologiquement parlant après un avril triomphant. Je fis distraitement quelques manifs, profitant surtout de la nouvelle liberté sexuelle qui explosait. Époque bénie des dieux pour la jeunesse.
    
    J’eu mon bachot comme tout le monde en 68. Élève moyen je l’aurais eu quand même. Mais je n’ai pas intégré la fac de droit comme prévu.
    
    Désireux de reprendre le flambeau familial, grand père, père, je m’engageai pour cinq ans dans un bataillon de montagne. Je fis un peu la guerre là où la France n’a cessé plus ou moins de guerroyer en Afrique. Sans tuer personne. Ni franchement risquer ma vie.
    
    Je devins ensuite ouvrier par choix social et politique. Ma mère a été formidable avec toutes mes amies constituant une relation sérieuse. Toutes en on gardé un souvenir ému, pour celles que je vois encore.
    
    Maman fût victime jeune d’un cancer qu’elle devança de sa main de maîtresse femme. Elle m’a demandé de venir accompagné au chalet, pas avant avant-midi, un samedi.
    
    Je m’y rendis en moto, ma compagne Italienne de l’époque en passagère blottie contre moi. On savait déjà.
    
    Elle s’était tiré une balle dans la tête avec la carabine USM1 para, un autre souvenir ...
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