Mille neuf cent soixante huit (4) - Histoires de Sexe

Mille neuf cent soixante huit (4)

... ces pratiques et je craignais d’être vertement repoussé.

C’était déjà tellement exceptionnel de pouvoir peloter ces seins en érection, ces mamelons trop longs; je descendis vers la chatte et constatai avec plaisir qu’elle était toujours coupée court sinon rasée. Probablement à mon attention. Elle était humide aussi.

Maman était devenue toute autre dans ces dernières minutes. Elle éteignit tout de même l’ultime lumière et se dirigea dans la pénombre vers le fauteuil. Aussitôt elle écarta le peignoir et ses vastes cuisses aussi, posant ses mollets de part et d’autre des accoudoirs en bois . Dans cette position gynécologique je ne pouvais guère que m’agenouiller sans tarder, et lui bouffer la chatte à loisir, l’explorer, au plus profond possible, en revenant par l’urètre, pour m’occuper de tous les alentours, pointes, enveloppe du clitoris, le tout en malaxant les seins et leurs tétons dressés. Je tirais ceux ci avec douceur et fermeté. Je bandais et mon sexe palpitais dans mon pyjama. J’avais compris avant, qu’il valait mieux ne pas mettre les doigts. J’aurais pourtant eu plein d’idées bien placées les concernant. J’en étais là quand je sentis les trois secousses caractéristiques et la vibration incontrôlée des cuisses, en même temps qu’un afflux de jus excitant.

Ma mère avait joui. Orgasme silencieux. Profond, venu de loin, d’un désir bien plus impérieux que la morale.

— Allez viens au lit maintenant.

Juste un mètre à parcourir, le peignoir à faire ...

... définitivement glisser et le pyjama à se débarrasser.

Maman se plaça sur le dos, cuisses bien écartées. La mouille abondante et mon sexe dressé rendirent la pénétration instantanée. Et l’éjaculation interne, pour ma vraie première fois , quasi simultanément, après quelques allez retour, au bout du bout de l’excitation, comme si le sperme se tenait en équilibre sur le gland juste avant de plonger. La douceur humide et le désir étaient trop forts, les réserves trop pleines.

— Médaille d’or de descente tout schuss!

Fit ma mère ironique. Eh oui quand le besoin est trop fort, les relations trop espacées, j’ai toujours été ainsi au cours de ma vie sexuelle. Fort heureusement je recharge vite, et là je peux alors donner et recevoir beaucoup plus, en tenant la distance. Demi éjaculateur précoce en somme.

Je revins aussitôt dans la foulée et dans la vulve pleine de foutre des deux origines, mâles et femelles. Une première fois vidé du principal, je pouvais produire les intérêts. Je limai systématiquement, avide de sensations, à l’affût de toutes les douces aspérités des contractions les plus subtiles. J’osai même un changement de position en tournant ma mère sur le ventre, croupe relevée. Elle ne disait mot. Elle accepta. Elle ne cria ni ne geignit à aucun moment, sauf peut-être quand je me mis à masser à nouveau le clitoris avec mes doigts, tantôt caressant, tantôt pinçant, tantôt tournant autour. Je jailli une deuxième fois dans cette position. Après quelques secondes d’hébétude, ...