Au pays des mille étangs - Histoires de Sexe

Au pays des mille étangs

... Je me ressers un whisky. Putain ! Quelle aventure ! Il faut que je me pince pour savoir si je ne rêve pas. Ouille ! Non, je ne rêve pas et c’est pourtant une créature de rêve que j’ai devant les yeux, totalement à poil, agitant sans complexe ses super-nichons, son super-cul et tout le reste sous mon nez. Ça y est, je bâille, j’ai sommeil. Il est déjà deux heures et demie. J’aurai la tête dans le… sac demain matin. Elle revient.

— Voilà, ils transmettent avec des moyens puissants. Eux ont applaudi. On verra.
— Bien, Aïnoa, je dois aller me coucher maintenant. Je suis fatigué, j’ai sommeil et je travaille demain matin.
— Ah ? Si vous êtes obligé…
— Oui, c’est nécessaire. Je vous montre votre chambre ?… Voilà, vous pourrez dormir ici.
— Mais… dormir… je ne veux pas… pas besoin… Si… si je reste avec vous, je dérange ?
— Quoi ? Au lit avec moi ? Je veux bien, mais je ne réponds de rien. Ma… sexualité ne peut que s’éveiller, ce qu’elle fait d’ailleurs depuis que vous avez quitté votre combinaison.
— Mais je veux bien essayer la sexualité avec vous. Je suis en mission d’exploration, c’est normal.
— Ben tiens ! Alors, allons-y.

Nous y sommes allés, et pas pour rien. D’abord, lorsque j’ai posé mes vêtements, elle a été complètement effarée en voyant mon sexe, dressé depuis un bout de temps et surgonflé à cette perspective. Non pas qu’il soit extraordinaire, colossal, non, un zizi normal, dans la moyenne, mais en érection. Et ça, elle ne l’avait jamais vu chez ses ...

... copains.

— Et ça, ça rentre dans le corps de la femme ?
— Eh oui, par ses trois trous.
— Quels trois trous ?
— Eh bien… celui qui est fait pour ça, là, dis-je en montrant sur elle, mais pour jouer, ça peut-être aussi la bouche ou encore le petit du bas du dos.
— Nonnn !… Et ça ne fait pas mal ?
— Ça dépend, si on s’y prend bien, si la dame a très envie et se laisse faire ou, mieux, participe, ça peut être très très bien.
— Han ! Je vois, c’est un jeu à deux.
— Tout à fait. Au moins deux, car certains se mettent à plusieurs, mais ça, c’est autre chose.
— Apprends-moi tout, je veux tout savoir.

Tout un programme ! Et je n’allais pas le regretter. Bien sûr, je trouvais quelques différences avec la Berrichonne moyenne. Par exemple, cette peau qui non seulement se crispe en chair de poule sous les caresses, mais qui ondule également comme un organe à part entière doté de ses propres muscles. Et puis il y eut sa langue, quand enfin elle ouvrit la bouche, non pas pour parler, mais pour un baiser profond. Je voulus voir, avant, où j’allais fourrer la mienne, si ce n’était pas un broyeur genre broyeur d’évier. Eh bien, sa langue est légèrement bifide. Je dis légèrement, pas celle d’un serpent, mais un peu carrée avec un creux au milieu. Elle fonctionne très bien également, partout ! Enfin, le plus surprenant fut son sexe. S’il esta priori assez semblable à celui de notre Berrichonne moyenne, d’abord il est extrêmement étroit et court, inactivité oblige, je suppose, et son ...