Serveur d'un soir (8)
Datte: 01/01/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Maximalia, Source: Xstory
... sexe énorme coulissa dans le mien, fourreau étroit, mais accueillant. Il débuta un va-et-vient doux et lent. J’avais l’impression que son sexe débordait du mien tellement il me semblait énorme.
Je n’avais toujours pas ouvert les yeux. Mon repos d’un temps s’était mu en instant extatique, une réjouissance résumant une nuit épique et torride.
Je continuais mon pilotage automatique, uniquement guidée par mes sensations profondes. La séparation de mes sens avait comme conséquence de dupliquer l’effet de chaque caresse, chaque étreinte, chaque balancement de son corps dans le mien. Le contact était décuplé. Ses deux mains libres sauraient en tirer profit : l’une d’elles maintenait une pression sur mon vagin, mon pubis, quand la seconde saisissait mon cou pour attirer tout mon corps vers le bas, l’appelant à s’empaler tout entier sur sa queue divine. Il finit par relever sa jambe en soutien de la mienne, très haut, à hauteur de bassin, ses orteils fuselés s’agrippant à une alcôve dans laquelle errait un demi-savon bullant tranquillement sous l’allée et venue de nos culs bombés fusionnés dans une danse lancinante.
Ses gémissements étaient une invitation supplémentaire à l’ivresse. Ses ‘Mmmmhs’ longs et profonds ponctuaient chaque à-coup dans le fond de mon vagin, quand son gland énorme s’empalait contre mes muqueuses moelleuses. De mon côté, mes râles prenaient la forme de souffles prolongés, d’abord quasi aphones.
Puis, je perdis totalement pied quand de ses deux ...
... mains, il ressaisit à nouveau avec fracas mes seins remplis d’inclination. Je criai presque, une courte fois d’abord, exhumant mon bouillonnement intérieur. Il plaqua sa main gauche sur mes lèvres comme pour me contenir et lancer l’ultime assaut.
De ses deux mains, il m’ouvrit totalement, plaçant mes jambes en arrière, entourant son cul arqué. Puis il plaça mes mains sur la barre qui maintenait le pommeau. Je tractais de toutes mes forces pour me maintenir en lévitation pendant qu’il canonnait ma chatte violemment, profondément, entièrement. Des coups secs, mais gorgés d’amour, ses deux mains placés sur mes épaules, par-devant, et redescendant mon corps par à-coups. Le balancement ample de son bassin, couplé à mon corps contraint de descendre sèchement par intermittence, créait un choc rythmique sidérant. J’en avais le souffle coupé à chaque fois. Et entre-deux, je lançais de petits cris suffoqués eux aussi. Le plaisir frôlait la souffrance. La mécanique s’accélérait désormais, toujours plus large, abondante. Sa bite était monstrueuse, grandiose et virtuose.
Les oscillations offraient un parcours de quasi 25 centimètres. Je sentais qu’à chaque ondulation, chaque remontée, sa bite était aux portes de mes lèvres, son gland à deux doigts de s’échapper. Cela ajoutait au plaisir douloureux, conférant à ce risque de disparition, une cupidité sérieuse à le sentir revenir dans mon antre, encore plus fort, encore plus violent.
C’est quand ses mains, enroulant mes bras, vinrent ...