1. Mise à l’air


    Datte: 01/01/2022, Catégories: fh, Transexuels policier, Auteur: Domi Dupon, Source: Revebebe

    ... évoquer son bouton de rose. Elle aurait préféré être traitée plus en femme, mais pour Colette, c’était sa première bite. Il entendait que l’attrait de la nouveauté la rendit impatiente.
    
    Affamée, le mot qui lui vint à l’esprit quand sa conquête abandonnant sa bouche s’agenouilla. Posant ses mains aux ongles incarnats sur la tête de sa partenaire, ses doigts se frayèrent un chemin dans la chevelure bouclée. Elle sourit à la vision de cette lesbienne qui observait sa bite d’un air dubitatif « J’y vais, j’y vais pas ? semblait-elle s’interroger ». Après une longue hésitation, les lèvres s’approchèrent et l’effleurèrent pour un timide baiser avant de se retirer rapidement. Elles ne tardèrent pas d’y revenir et de s’y poser plus franchement. Lentement, la bouche s’entrouvrit et, petit à petit, absorba le gland, fruit de sa convoitise.
    
    L’inexpérience donnait une fraîcheur très excitante à son approche. Les mains qui jusque-là étaient plaquées à ses globes fessiers, avaient saisi ses testicules, les retournaient entre des doigts qui les palpaient, s’amusant à les faire remonter à l’intérieur de son ventre avant de les tirer sur les côtés. Charlotte avait l’impression que la femme tentait de savoir quelle était leur liberté de mouvement.
    
    Une bouche, précautionneuse, glissait le long de son sexe, en un va-et-vient qui effleurait à peine la peau. La sensation était exquise. Elle ne le suçait pas, elle lui caressait le sexe du bout des lèvres. À chaque trajet, elle tentait ...
    ... d’aller plus loin.
    
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    C’était donc ça ! Pas désagréable ! Même si je n’avais jamais été une adepte, comme Gaby, de bouffer du gode, il m’était arrivé de le faire pour lui complaire. Une vraie bite, c’était différent. Pas un artefact, mais un morceau de chair vivant, chaud, palpitant sous mes coups de langue. Je dépassai le gland et m’attaquai à la hampe. Je n’étais pas peu fière de l’avoir décalotté sans provoquer de sursaut de sa part. J’avais peur de lui faire mal. Sa main qui triturait mes cheveux m’incitait à continuer. M’enhardissant, j’absorbai ce sexe tendu au trois quarts. J’avais entendu parler des gorges profondes. Il m’apparut évident que, physiologiquement, je ne pourrais y arriver. J’entrepris donc de faire avec mes moyens.
    
    Je ressentais une excitation monter en moi. Rien de vraiment sexuel. Seulement le plaisir pervers de la découverte, celui provoqué par ce membre vibrant sous mes attouchements, celui de le sentir grossir, durcir dans ma bouche même si la sensation d’étouffement générée n’était pas des plus agréables. Aussi la satisfaction de comprendre ce qu’une femme hétéro pouvait ressentir, ce pouvoir qu’elle avait à mener l’homme à la jouissance. C’était bandant (!), ce membre masculin imposant dans un corps tellement féminin.
    
    Je n’étais pas persuadée de mouiller. La curiosité entraîna ma main entre mes cuisses. Pas les grandes eaux de Versailles, mais une certaine moiteur qui m’incita à glisser l’index sous ma culotte et lutiner ma ...
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