Catho coincée
Datte: 29/12/2021,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
grosseins,
groscul,
sales,
odeurs,
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... l’incitant à les manœuvrer à leur convenance. Viviane avait maintenant très chaud, de cette chaleur qui montait de son ventre exploré par des doigts qui savaient trouver ses points sensibles. Sur le carrelage tiédi par l’eau, la prude Viviane apprit de ses doctes professeurs la branlette, la pipe, la cravate de notaire, le broute minette, le missionnaire et la levrette. Elle vit avec émerveillement gicler à plusieurs reprises des jets de sperme, y goûta même, trouvant cela fadasse et sans intérêt gustatif, et surtout comprit le bonheur d’avoir une queue, une bite, un dard ou une pine bien dilatée dans sa chatte, son minou ou son con, et de se faire ramoner, limer, bourrer, en un mot : baiser. Son vocabulaire s’étendit donc considérablement, et elle était maintenant capable de mettre des images et des sensations sur les mots.
Ce fut donc un après-midi fructueux, mais épuisant. Avec leurs nouveaux vêtements presque à la bonne taille, un peu serrés pour Gaston et un peu grands pour Raymond, les deux hommes avaient repris un aspect tout à fait convenable, et de ça aussi Viviane était fière. Elle redoutait de les voir repartir dans leur gourbi, et reprendre ainsi en une nuit la même odeur qu’avant la douche. Elle les emmena dans les greniers, et ils trouvèrent facilement d’anciens lits de pensionnaires stockés là par paresse de s’en débarrasser : lits métalliques, matelas en assez bon état, draps, couvertures, ils firent deux voyages jusqu’à l’entrepôt. Une fois « royalement ...
... » installés, ils souhaitèrent trouver un moyen de la remercier :
— Qu’est-ce qu’on peut faire pour te faire plaisir ma belle ? Tu sais que jamais personne nous a traités aussi bien que toi, même pas nos familles.
— J’ai ma petite idée là-dessus…
— Ah ! Dis vite.
— Vous m’avez bien dit que quelques jours de travail permettraient de remettre le parc en état ?
— Ah oui, c’est sûr.
— Et vous pourriez faire ça, si je vous fournis les outils ?
— Ben, mais comment donc, on a fait du jardinage, pas vrai Raymond ?
— Sûr qu’on peut.
— Alors je vous attends demain avec les outils.
— Demain, je crois qu’on est libres… Hein, Gaston ?
Tous trois partirent de rire sur cette plaisanterie et se quittèrent.
Les quelques jours qui suivirent furent capitaux pour le parc de l’école. Défriché, pelouses tondues, arbres et buissons taillés, allées désherbées, bassin nettoyé, plants de fleurs plantés dans les vasques, l’endroit passa de l’état sauvage à un jardin paradisiaque, ce qu’il avait été du temps où l’ancien propriétaire du lieu, un colonel de l’armée des Indes, l’avait fait faire avant que ses héritiers, des neveux incapables d’assumer les droits de succession, n’en fassent don à l’évêché pour en faire une école privée. Il ne fallut pas deux jours, mais toute une semaine aux deux sans abri pour parvenir à ce résultat, mais Viviane était aux anges. D’autant que la présence sur place de ses nouveaux « amis » lui permettait de s’envoyer en l’air trois ou quatre fois par jour, ...