Catho coincée
Datte: 29/12/2021,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
grosseins,
groscul,
sales,
odeurs,
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... ils se relayaient pour lui donner tout le plaisir auquel elle avait pris un goût extrême. Elle était devenue insatiable, ne refusant aucune nouveauté dans sa découverte sexuelle, y compris ce qui lui paraissait précédemment totalement dégoûtant. Ainsi, Gaston et Raymond visitaient maintenant quotidiennement son petit œillet devenu beaucoup plus grand et beaucoup plus souple, voie dans laquelle ils trouvaient un plaisir total et complet, ce qu’ils ne se permettaient pas dans la voie habituelle, ne voulant pas engrosser leur belle amie.
Elle eut même l’audace, et s’en félicita par la suite, d’accepter leur double visite simultanée, figure de style qu’elle n’aurait même pas imaginée huit jours auparavant. La « catho coincée » s’était complètement décoincée et y prenait un plaisir non dissimulé. Quand le parc fut en état, Viviane leur fit réparer le sol de la cour et du terrain de sport, retracer les lignes, et ne vit plus qu’un travail important à réaliser : repeindre les grilles d’enceinte en train de rouiller. Pour cela, elle acheta des seaux de peinture sur le compte de l’établissement à la droguerie du coin, fournisseur habituel. En deux semaines, le lycée avait totalement changé d’aspect, et le jour de rentrée fut le jour de gloire de Viviane. Profs, parents, élèves, direction, tout le monde fut épaté et enchanté par la transformation opérée. Il n’y eut que l’intendante, une vieille harpie ménopausée, qui lui fit une scène invraisemblable pour avoir fait des achats sans ...
... lui demander son accord. Elle plaida la cause de ses protégés auprès du directeur et, comme l’état de santé du factotum ne s’arrangeait pas, vu le travail réalisé et au nom du devoir de bienfaisance et de réinsertion sociale, elle obtint qu’ils fussent embauchés provisoirement pour un salaire très modique, mais en étant logés et nourris.
La remise d’outillage était en fait d’anciennes écuries, avec ces hautes portes à deux vantaux superposés, et au-dessus un vaste grenier avait servi de fenil. C’est là que les deux compères purent installer leur nouveau gîte, rustique, mais sain et sec. Ils mangeaient aux cuisines, avec le personnel d’entretien, et s’intégrèrent plutôt bien : en quelques jours, une aide-cuisinière devint leur coqueluche qu’ils troussaient quotidiennement dans leur grenier aménagé, à l’écart du bâtiment principal. Viviane n’en prit pas ombrage, quand elle travaillait elle n’était pas très disponible, et elle n’entretenait aucun sentiment envers eux, sauf de l’amitié. Et puis il leur restait assez d’énergie pour satisfaire, le soir, les envies de leur bienfaitrice.
Pâques, tardif, était cette année-là après les vacances scolaires de printemps, très précoces du moins pour cette académie. Comme à son habitude, Viviane Des Combres assista à toutes les célébrations. Cependant, son regard sur le Père Rivière s’était inconsciemment modifié, même si elle avait beaucoup de mal à croire ce que Raymond avait raconté. Devenue femme très au fait de la sexualité, elle ...