1. Catho coincée


    Datte: 29/12/2021, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, religion, grosseins, groscul, sales, odeurs, entreseins, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... serait-il pas possible…
    — Je vous arrête tout de suite, ma chère Viviane. Nous y recevons des enfants. Alors vous comprenez, les parents, y admettre des SDF avec peut-être des maladies ou des parasites, poux, gale, puces… Non, nous aurions aussitôt les parents sur le dos…
    — Merci, mon Père, je me débrouillerai toute seule.
    — Passez me voir, ma fille, nous en discuterons.
    
    Elle raccrocha furieuse. Ils avaient bien raison, rejetés de partout, y compris de ceux qui prêchent l’aide et la compassion. Pas étonnant qu’ils aient perdu la foi. Ce soir-là, Viviane animée d’une sainte colère enfila une chemise de nuit et s’endormit sans s’occuper de son corps.
    
    Le lendemain, dès le matin, elle monta dans la Citroën et partit pour la ville voisine où se trouvait une communauté Emmaüs. Elle acheta pour un prix modique deux tenues complètes pour ses protégés, puis passa dans un supermarché acquérir tout un nécessaire de toilette, rasoirs, mousse, savon, shampoing, même un flacon de déodorant. Puis elle alla chercher les deux garçons et les amena jusqu’au lycée, avec pour consigne de ne faire aucun bruit et de se cacher s’ils apercevaient quelqu’un. Eux aussi constatèrent l’état lamentable du parc, jurant « qu’en deux jours de boulot, ça pourrait ressembler à que’que chose ». Elle nota la remarque dans un coin de sa mémoire, et les conduisit dans les douches collectives des élèves. Les deux oiseaux s’ébattirent sous l’eau, heureux comme des gamins. Pendant ce temps, elle remplit ...
    ... un sac poubelle de leurs vieilles frusques, les remplaçant par ses achats du matin. Et les deux bonshommes l’appelaient à pleine voix :
    
    — Allez, viens, mignonne, viens nous dire si on est assez propres.
    — Ouais, viens nous frotter le dos…
    — Mais non, pas question, je n’ai jamais vu d’hommes nus…
    — Arrête de faire ta mijaurée et viens avec nous. Putain, ça fait du bien si tu savais ! Tu nous gâtes et on veut te gâter aussi. Allez, viens vite.
    — Ouais, surtout que t’as déjà vu nos queues de près, on n’a plus rien à te cacher. Allez, amène-toi.
    
    Elle sortit de derrière sa cloison, avec l’intention de les faire taire et de les empêcher de gueuler ainsi. Ils en profitèrent pour l’attraper par les mains et l’entraîner avec eux sous l’eau tiède. Elle cria, mais rit en même temps et se hâta de poser chaussures et vêtements déjà trempés. Ils se mirent à jouer sous l’eau comme trois enfants, s’éclaboussant et se savonnant les uns les autres. Oui, mais ce n’étaient pas des enfants.
    
    Quand le corps totalement nu de Viviane fut enduit de savon, superbe nymphe luisante et glissante, les mains des deux mâles s’égarèrent, les queues se dressèrent et ils commencèrent à se frotter contre elle, peu importait où. Chacun empoigna un sein pour le masser et le titiller gentiment, les deux autres mains plongèrent entre ses cuisses, l’une devant, l’autre derrière. Était-ce une idée, l’eau parut soudain plus chaude à Viviane. Ils placèrent leurs queues dressées dans chacune de ses mains, ...
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