Catho coincée
Datte: 29/12/2021,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
grosseins,
groscul,
sales,
odeurs,
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... serait toujours un soutien-gorge sauvé du massacre.
Le contact de la laine fit immédiatement dresser la pointe de ses seins, c’était délicieux. Elle composa un cabas de nourriture et traversa le parc pour rejoindre le sentier de l’entrepôt. À cette heure tardive, des bruits bizarres se firent entendre dans les hautes herbes. Viviane déplora que le factotum de l’établissement soit malade depuis des semaines. Le parc ne ressemblait plus à rien, envahi par les herbes folles et par des petits habitants qui se manifestaient en fuyant sur son passage : lapins, hérissons, perdreaux égarés… Elle n’était pas rassurée. Les deux loustics l’accueillirent avec joie, car ils craignaient que, fâchée contre leur maladresse, elles les laissent tomber. Gaston avait copieusement engueulé Raymond pour son manque de délicatesse et ils s’étaient chamaillés une bonne partie de la nuit. Bien sûr, en voyant ses nibards dressés et ses cuisses tendres sous sa jupette, ils voulurent se montrer plus… câlins. Mais Viviane se défendit vigoureusement.
— Allez< mignonne, juste un petit bisou sur tes beaux tétons.
— Et puis sur ton joli cul. On t’a promis de te brouter minette…
— Messieurs, messieurs. Vous puez comme des putois. Il n’est pas question que vous m’approchiez tant que vous ne serez pas lavés, rasés et changés.
La jeune femme parut avoir marqué un point et surtout touché une zone sensible. Un grand silence suivit sa déclaration, et c’est Gaston qui eut le courage de répondre :
— ...
... C’est pas qu’on voudrait pas, ma belle, mais regarde dans quoi qu’on vit. Viens, fais le tour du propriétaire, y a même pas un robinet. On ramène bien un peu d’eau quand on va en ville, piqué à un robinet de jardin ou à une fontaine. Mais on la garde pour faire un peu de soupe ou pour la boire quand on a rien d’autre.
— Eh bien, je… je ne sais pas moi. Vous ne pouvez pas aller au camping ? Il y a des douches là-bas…
— On y a été, on s’est fait virer…
— De là comme de partout, reprit Raymond. C’est comme si qu’on faisait peur aux gens.
— Bon, bon. Je vais trouver une solution. Je reviendrai demain.
Viviane rentra, peu rassurée en traversant le parc en friche, puis téléphona au Père Rivière.
— Alors, ma fille, où en êtes-vous de vos réflexions ? Allez-vous poursuivre vos bonnes œuvres ou bien les laisser à d’autres, questionna-t-il d’une voix mielleuse ?
— Mon Père, je n’ai guère le choix. Ces hommes dépendent de moi, je continue d’assurer leur survie. Et justement, j’ai besoin d’aide : si on ne les considère plus comme des humains, s’ils ont perdu leur dignité, c’est aussi parce qu’ils n’ont aucun moyen d’accéder à l’hygiène la plus élémentaire. Y a-t-il un endroit où ils puissent faire un minimum de toilette ?
— Alors là, ma fille, c’est une question à laquelle je n’ai pas de réponse. Vous avez contacté la mairie ?
— La mairie leur refuse même l’accès aux installations du camping. La paroisse a bien un club de football, avec des douches dans les vestiaires. Ne ...