Catho coincée
Datte: 29/12/2021,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
inconnu,
religion,
grosseins,
groscul,
sales,
odeurs,
entreseins,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
exercice,
initiat,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... alors… Bon, je ne m’ennuie pas, mais il faut que je fasse mon tour des dortoirs. Je vous laisse.
— Ah ben, c’est dommage. On t’aurait bien fait un broute-minette olympique, histoire de se faire pardonner de t’avoir pété le blindage par mégarde…
— Euh… Certainement. Une prochaine fois peut-être.
Viviane reprit le sentier vers le lycée, fesses à l’air sous sa jupe et seins libres sous sa veste. Elle ressentit bien encore quelques picotements dans son intimité, mais pas de réelle douleur. En revanche, elle éprouva un extraordinaire sentiment de liberté en sentant l’air tiède d’avril caresser ces parties de son corps habituellement les plus habillées et les plus protégées.« À quoi bon me servait ce précieux pucelage préservé jusqu’à maintenant ? » songeait-elle ;« Ils ont paru si ennuyés de leur méfait, ils n’ont même pas cherché à aller plus loin. Ils ont même été très humains et très protecteurs ensuite… » Non, décidément, elle n’arrivait pas à leur en vouloir vraiment. Et puis elle avait appris tellement de choses sur la vie en quelques minutes avec ces deux… pauvres bougres, bien plus que dans toute sa vie d’adulte enfermée dans sa bulle religieuse.« Rhooo… Et le Père Rivière, je n’arrive pas à y croire. Lui, Marthe, ma maîtresse d’école… Ce n’est pas possible. » Un peu en retard, elle ne prit pas le temps de passer se changer et fit son tour telle qu’elle était arrivée, sentant l’étoffe frotter doucement ses seins et ses fesses à chacun de ses pas. Une sensation très ...
... agréable, et personne ne remarqua rien. Viviane prit ensuite une longue douche, le jet d’eau tiède lui fit un bien fou partout où il la fouetta, notamment sur ses points sensibles. Elle se glissa dans son lit tellement excitée qu’elle n’enfila pas de chemise de nuit pour la première fois de sa vie. La caresse rugueuse des draps de toile métis sur son corps nu lui procura des sensations nouvelles, rapidement insuffisantes, et ses mains prirent le relais pour jouer une longue partition de plaisir sur ses zones érogènes.
Le lendemain, les vacances de printemps débutaient. Dès dix-sept heures, enfants et personnels n’avaient de cesse de prendre la poudre d’escampette le plus vite possible. Une demi-heure plus tard, l’établissement était totalement vide, Viviane restait seule maîtresse à bord, de permanence pour ces congés. Elle fit tout le tour de l’établissement, fermant d’abord les grilles, puis passa dans chaque classe et dans chaque bureau, vérifiant que les fenêtres étaient bien fermées, les lumières et les divers appareils éteints. Elle verrouilla toutes les portes donnant sur l’extérieur et regagna son logement, il était presque dix-neuf heures. Comme il faisait beau et doux, elle enfila une jupette un peu ample qu’elle n’avait pas portée depuis dix ans au moins et un petit pull-over directement sur sa poitrine nue. Non pas qu’elle cherchât à exciter ses deux protégés, juste pour retrouver ce sentiment de liberté éprouvé la veille ; et puis s’ils n’étaient pas sages, ce ...