1. Catho coincée


    Datte: 29/12/2021, Catégories: f, fh, fhh, inconnu, religion, grosseins, groscul, sales, odeurs, entreseins, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, exercice, initiat, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... possible.
    — Mais si, ma belle, c’est la vie. Et c’est très bien comme ça, si ça rend tout le monde content.
    — Quand même…
    — Et puis toi, qui venais nous apporter du manger, avec tes gros nichons et ton cul tout rond, malgré ton air pincé, j’peux te dire que la « veuve Poignet » elle a marché une bande de fois. Ah, on se l’est astiqué le manche à plaisir en pensant à toi !
    — Oui, t’en as fait couler du bon jus, renchérit Raymond. Jusqu’au jour où qu’on s’est dit que… ça serait peut-être mieux si on te sautait vraiment, et pis qu’avec ton air pincé t’aimais p’t’êt’ bien ça. C’est souvent les plus cochonnes qui le cachent le plus, disait Gaston. Alors on a essayé, mais… t’étais bien coincée.
    — Ouais, une catho coincée quoi. Mais quand on t’a vue revenir, là on s’est dit c’est sûr, elle en veut d’autre.
    — Mais… mais pas du tout. Moi qui suis allée demander conseil au Père Rivière, qui a prié presque toute la nuit pour trouver le courage de ne pas vous abandonner sans nourriture…
    — Comment tu dis qu’il s’appelle ton curé ?
    — Le Père Rivière, pourquoi ?
    — Oh, mais ça me dit quelque chose ça, réagit Raymond. Quand j’allais chercher de la ferraille en Lorraine, un jour les employés de l’usine rigolaient comme des baleines. C’était le sacristain qui avait vendu la mèche. Un jour, les cloches sonnaient à toute volée et pourtant y avait ni mariage ni baptême. Il fonce à l’église au cas où y aurait une panne, et il trouve le curé en train de bourrer le cul de la mère Dubreuil, ...
    ... la femme du patron ! Et le curé s’appelait Rivière, je me souviens bien parce qu’ils disaient que « la rivière coule entre les cuisses de la mère Dubreuil ». Ha-ha-ha-ha-ha…
    — Oh, mais non, ce n’est pas possible, vous êtes… mauvaises langues.
    — En tout cas, fais donc attention à ton gentil curé. Il pourrait bien s’intéresser aussi à ton joli cul.
    — Vous êtes… vous êtes… méchants.
    — Mais non, ma belle, on t’explique qu’on est comme tout le monde. Et quand il s’agit de baiser, y a pas de curé qui tienne : un homme est un homme, et pour qu’il baise, faut bien qu’il y ait des dames qui soient d’accord. C’est comme ça, c’est la vie… J’étais marié, mais je savais bien que ma bourgeoise s’envoyait en l’air avec le facteur, quasiment tous les jours. Et je m’en foutais parce que quand je rentrais, elle me fichait la paix, et heureusement parce que je venais de faire reluire par la mère Martin, la maîtresse d’école.
    — Oh, mais je l’ai connue, s’écria Viviane. C’était ma maîtresse.
    — Ben oui, mais elle était veuve, et elle avait de gros besoins, si tu vois ce que je veux dire. Pour une cochonne, c’était une cochonne ! Elle m’attendait tous les soirs, je passais par les jardins, la porte de derrière, et bingo. Il lui en fallait au moins deux tours. Elle me payait l’apéro, comme ça quand je rentrais, je sentais un peu la picole. Ma bourgeoise m’engueulait « t’as encore été au bistrot », mais elle se doutait de rien. Ça a bien duré… cinq ou six ans. Jusqu’à ce qu’elle parte.
    — Ça ...
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