1. Pédagogies appliquées


    Datte: 20/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, Masturbation caresses, intermast, Oral lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... des initiatives. En posant les dents autour d’une aréole, par exemple, et en la mordillant de plus en plus vivement jusqu’à faire crier faiblement sa maîtresse. Alors elle s’arrête, et lèche tendrement mamelon et téton, ravie des soupirs d’aise qu’elle entend.
    
    À ce rythme, les gémissements de Marie-Blanche se font rapidement plus précipités et aigus. Ses bras se sont abandonnés sur les cuisses de Clémence et Viviane. Ses mains se crispent par intermittence, infligeant des frissons que leurs victimes ne lui reprochent pas. Les filles profitent de la leçon de caresses buccales et suivent d’un œil intéressé les virevoltes de la bouche de Sandrine. Très vite, trop vite à leur goût peut-être, une plainte plus haute et soutenue que les précédentes signale la fin de ces préliminaires. Les coquines cajoleries cessent aussitôt, permettant à Marie-Blanche de reprendre une respiration plus calme et un semblant de contenance. Pas assez, apparemment, pour qu’elle s’inquiète du flirt de ses doigts avec les zones érogènes de ses jeunes gardiennes.
    
    C’est le moment tant désiré pour Sandrine de se plonger dans la connaissance intime du sexe de sa maîtresse. Elle s’y jette avec l’ardeur d’un jeune chiot sur sa pâtée, ou du pèlerin sur la châsse du Saint. Elle fouine, lape, touille, sans ordre ni mesure, arrachant à Marie-Blanche des cris de bonheur, et parfois de douleur. Ce n’est plus de la dévotion, c’est de la dévoration. Une avidité dévastatrice pour la pauvre chatte adorée si tu n’y ...
    ... mettais pas immédiatement un terme.
    
    — Allons, allons, une minette se déguste avec gourmandise, pas avec gloutonnerie, ris-tu en éloignant la tête de la dévoreuse de sa proie. Il faut apprendre à gougnotter, ma puce. Plus tu retardes la montée de l’orgasme, plus la jouissance sera forte. Je vais te montrer.
    
    Tu t’agenouilles près de Sandrine, joue contre joue entre les cuisses de sa déesse. Mais l’espace est restreint, un minimum d’organisation est nécessaire pour une bonne pratique à deux du cunnilingus.
    
    — Relevez vos genoux, ma chérie, votre cul au bord du canapé, et faites-nous un beau vé bien large avec vos cuisses, exiges-tu de Marie-Blanche. Vous, les filles, passez une jambe par-dessus la sienne de votre côté, jarret contre jarret, et repliez-la. Voilà… Madame est souple, elle nous l’a montré, n’ayez pas peur de serrer pour écarter sa fourche au maximum.
    
    Si Marie-Blanche se voyait dans une glace, elle trouverait certainement obscène, voire humiliante la position que tu lui imposes. Clémence et Viviane lui bloquent si étroitement les genoux entre leurs jambes que ses cuisses forment un angle presque plat. Sa chatte est à l’horizontale, les lèvres s’étirent malgré l’excitation qui les gonfle et les nymphes charnues s’ouvrent sur une large fente luisante presque rouge. Les quelques poils qui la bordent sont collés à la peau par la salive de Sandrine qui a étalé et mélangé sur eux une mouille huileuse qui suinte encore à la commissure du con. Mais surtout, révélé ...
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