1. Une collègue a besoin de réconfort (6)


    Datte: 20/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... ses mains sous sa jupe, fit glisser sa culotte le long de ses jambes en s’accroupissant.
    
    Je n’avais pas vu ses fesses ni sa petite chatte. Elle resta accroupie et se mit au pied de la chaise où j’étais assis, la queue dressée et frétillante, attendant qu’elle daigne me donner le plaisir que j’attendais.
    
    Célia se mit à genoux face à la chaise.
    
    — Oh... Je vois que vous êtes prêt professeur... Je sens que vous êtes très impatient...
    
    Puis, elle éclata de rire... Et me faisait du coup encore attendre ! Quelle garce... Mais tellement charmante et attendrissante...
    
    Elle se pencha et frotta ses seins contre ma verge. "Ça vous plaît professeur ? C’est nouveau ? Je l’ai appris sans vous hein ?"
    
    Tout en caressant ma queue, elle pencha la tête et commença à laper le bout du gland.
    
    Mais j’en voulais plus. Je posais ma main sur sa tête et caressais ses cheveux pour l’encourager. Elle ne se fit pas prier et laissa tomber les caresses de sa poitrine pour gober ma queue.
    
    Elle l’astiquait consciencieusement. On aurait vraiment dit une étudiante qui voulait montrer au professeur qu’elle avait bien appris sa leçon. Elle léchait la hampe d’un air sérieux, gobait, enfournait ma bite en bouche et la collait contre son palais avec sa langue, montant et descendant la tête à un rythme lent, mais ferme et rigoureux.
    
    Quel délice ! Elle arrêta son manège dans un bruit de succion appuyé. Elle me regarda d’un œil hésitant, comme si elle n’était pas décidée sur ce qu’elle voulait ...
    ... faire.
    
    Puis, tout en me figeant mon regard dans le mien, relevant sa minijupe, elle vint se mettre à califourchon face à moi devant ma queue tendue, collant sa fente humide contre ma hampe, commençant à me caresser tout du long avec sa fente.
    
    Sensation agréable et hyper-stimulante. Je n’avais qu’une envie, qu’elle s’empale sur moi. Je voulais me sentir emprisonné en elle.
    
    La position n’était visiblement pas confortable pour elle. Elle se leva, jeta sa minijupe à terre et agrippa mon membre frémissant. Elle tira légèrement dessus, pour m’indiquer de me lever. Elle me guida ainsi en me tenant littéralement par la queue vers sa chambre.
    
    Sur un ton qu’emploierait un médecin ou une infirmière, elle m’ordonna de m’allonger sur le lit double, en indiquant le côté du lit qui faisait face à la porte de la chambre. Je m’empressais d’obéir, trop pressé de la voir me chevaucher.
    
    A peine étais-je en place que mon "étudiante" m’enjamba, s’asseyait à califourchon sur moi, frottant sa fente chaude et humide sur ma bite, prenant soin de ne pas remonter trop pour ne pas me laisser m’introduire en elle. Tout en me pratiquant cette douce caresse, elle se pencha vers moi, frottant ainsi sa poitrine contre mon torse. Je sentais ses tétons me frôler la peau, son chemisier grand ouvert toujours sur ses épaules et son dos. Elle me prodiguait quelques baisers tendres avant de s’immobiliser tout entière.
    
    — Alors professeur ?
    
    — 10 sur 10 ! lui répondis-je.
    
    Elle sourit et s’empara ...
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