Une collègue a besoin de réconfort (6)
Datte: 20/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
J’arrivai chez Célia. Elle m’avait préparé un succulent déjeuner. Elle regarda ses messages, et m’annonça que je pouvais rester l’après-midi parce que le salaud ne rentrait que le lendemain.
— Ah le salaud... Tu as vu Chouchou ? Il reste avec sa petite pute... Quel salaud...
— On va en profiter aussi du coup ?
Pour réponse, j’eus droit à un sourire complice et un baiser passionné.
— T’inquiète pas Chouchou... Je ne te priverai pas...
Un autre baiser, un clin d’œil, et elle ouvrit une bouteille de vin. Au cours du repas, nous avions fini la bouteille. Enfin, c’était surtout Célia qui avait fini la bouteille.
— Dis donc mon petit cœur, tu n’as pas trop bu ?
— Mais non chouchou... Pourquoi ? Tu t’inquiètes ? Je vais m’occuper de toi, te fais pas de soucis. Dit-elle, pompette, de son sourire coquin.
— Je connais une petite coquine qui a trop bu !
— Tu vas pouvoir bien en profiter, hein ?
— Oh que oui !
Elle s’assit sur mes genoux, m’embrassa avec passion et je laissai mes mains gambader sur son corps.
Ses lèvres collées sur les miennes, elle essayait de me dire quelque chose.
— Qu’est-ce que tu dis ?
Elle se redressa en tenant de surmonter son léger état d’ébriété. Puis se tenant le dos droit, assise sur mes genoux, elle articula comme une écolière à l’école :
— J’ai dit... Je disais que j’ai pris le costume d’étudiante.
— Intéressant...
Elle se leva maladroitement en me demandant de l’attendre. Je n’avais aucune raison de ...
... désobéir, sauf si jamais elle trébuchait. Mais tout se passa bien. J’étais tout aussi agité et impatient que le jour où elle avait mis son costume d’hôtesse de l’air. Et là, ce qui était encore plus grisant, c’est que c’était elle qui allait se changer sans que je lui dise... entre les vacances coquines chez moi et le vin, elle s’était drôlement débridée ma Célia...
Au bout de quelques minutes, j’entendis « Ta da ! ». Célia était dans le couloir devant sa chambre un bras en l’air, l’autre vers le bas, une jambe légèrement repliée comme le faisaient les co-animatrices potiches dans les émissions de télé.
Célia portait un chemisier blanc moulant et entrouvert, laissant apparaître la naissance de sa poitrine compressée dans le tissu et ne demandant qu’à être libérée. Elle avait une minijupe à carreaux écossais, fond rouge et lignes vertes et jaunes. Mais tellement mini-qu’on voyait la genèse de ses fesses galbées. Et bien évidemment, des bas blancs.
J’étais très tendu en l’attendant. Mais en la voyant... J’étais subjugué... Mince, cette fille est tellement bandante... Ma queue frétillait dans mon caleçon en la voyant dans cette tenue...
Devinant mon état, elle s’approcha de moi et je lui confirmais mon ressenti.
— Je n’arrive pas à croire que ton mari se prive de ça...
— Il ne m’a jamais proposé de me déguiser...
— Dommage pour lui.
— Et heureusement pour toi hein ? A ces mots, elle se pencha sur moi, m’embrassa à pleine bouche et s’assied face à moi, à ...