Une collègue a besoin de réconfort (6)
Datte: 20/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory
... d’une main de ma queue pour la placer contre sa fente moelleuse d’où coulait son lubrifiant d’amour. Et elle reprit : "Dans quelques minutes, ce sera 20 sur 20 j’espère..."
Tout en m’embrassant passionnément, elle fit redescendre son bassin et s’empala enfin sur moi. Enfin en elle ! Avec toutes ses stimulations, je n’en pouvais plus. Que c’est bon d’avoir la bite enfin calfeutrée entre ces parois douces et chaudes.
Elle s’est redressée et a commencé ses va-et-vient, de haut en bas, lentement, mais fermement, comme une cavalière qui veut maîtriser sa monture. Et je sentais son vagin autour de moi, je sentais mon gland toucher le fond chaque fois qu’elle redescendait.
Je posais les mains sur ses cuisses pour les caresser. Alors, elle accéléra un peu. "Tu aimes ? Hein chouchou ?
— Oh oui !
— Mmm... C’est bien..."
Elle accéléra encore. Elle se lâchait, se déchaînait sur ma queue à un rythme effréné. C’était comme la première fois qu’elle m’avait chevauché. Elle voulait prendre son plaisir... ou faire monter le mien au maximum ? En tout cas, elle n’y allait pas de main morte. Son bassin était un vrai piston, à la mécanique qui s’emballait complètement, incontrôlable...
Je ne savais pas combien de temps j’allais tenir : "Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme".
A ce moment, elle ralentit, s’arrêta, me regardant en souriant, satisfaite. Elle me fixa dans les yeux, jeta derrière elle le chemisier, m’embrassa à pleine bouche.
Après quelques instants ...
... passés à faire retomber la tension, elle se remit à l’œuvre, me chevauchant à toute allure, cherchant à m’extirper ma jouissance. Je voulais tenir, mais je ne pouvais plus, trop d’excitation, trop de plaisir, j’étais au bord de l’explosion et elle voulait me faire jouir. Alors je me laissais aller, et ce fut le feu d’artifice.
— Ah Célia... Ah ! Mmmm !
Nous sommes restés quelques instants. L’un contre l’autre.
— Alors chouchou ? Verdict ?
— 20 sur 20 !
— Ah bah quand même !
***
Le soir, elle me demanda à quelle heure je rentrais chez moi. Elle avait peur que son mari ne rentre plus tôt.
Pourtant, il ne devait rentrer que le lendemain vers midi. J’essayais de convaincre Célia de me laisser passer la nuit chez elle.
— Pourtant, tu m’as chevauché sans scrupules dans le lit où tu dors avec ton mari ?
— C’est pas pareil...
— Comment ça ?
— Il m’a fait la même chose... C’est tout... Et puis pourquoi tu veux rester pour partir demain matin ?
— Tu sais bien... C’était histoire d’un dernier va-et-vient avant de reprendre la route... Elle sourit. Puis m’expliqua qu’elle avait voulu se venger de son mari, qu’il ne fallait pas continuer comme ça, ce n’était pas bien. Avant même que je puisse répondre, elle entra dans la salle de bains, puis la douche. Je l’attendais près du lavabo en lui parlant, tentant de la convaincre de ne pas arrêter comme ça.
Alors que l’eau s’arrêtait et qu’elle s’essuyait dans sa serviette. Elle me regardait dans les yeux, ...