1. Une collègue a besoin de réconfort (6)


    Datte: 20/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Vincent2010091, Source: Xstory

    ... califourchon sur mes cuisses.
    
    — Ah, Célia... Je t’adore...
    
    — Mmm ? Tu es content hein ?
    
    — Oh oui... Content de t’avoir appris que tu aimais te déguiser.
    
    — Tu es un bon professeur... Nous nous embrassions avec passion et je caressais les cuisses de ma coquine. Elle prit ma tête entre ses mains et m’embrassa avec force, je remontai du coup mes mains vers ses fesses que je malaxais sous la jupe.
    
    Elle se rapprocha de moi pour coller sa chatte à travers sa petite culotte déjà trempée, à la bosse sur mon pantalon. Elle commença à se frotter contre moi à travers le tissu.
    
    — Ça va professeur ?
    
    — Oh oui... je suis en train de me demander ce que je vais t’apprendre.
    
    — Aujourd’hui, on met la leçon en pratique. Tu as vu, j’ai mis moi-même la tenue sans que tu me le dises.
    
    Dit-elle triomphante, posant sa main sur ma nuque et continuant à remuer le bassin de façon à me stimuler à travers les tissus.
    
    — OK professeur coquin... Je passe l’examen aujourd’hui... Travaux pratiques... Je fais tout, vous restez silencieux et vous ne posez pas de question, j’ai besoin de beaucoup de concentration.
    
    Disant cela, elle m’avait regardé droit dans les yeux, posant son index sur mes lèvres et toujours en remuant le bassin. Comment lui refuser quoi que ce soit ?
    
    — Allez professeur coquin !
    
    Dit-elle en se levant d’un bond. Elle se dressa devant moi, déboutonna le premier et plus haut bouton de son chemisier, puis, d’un ton autoritaire, m’ordonna de me lever.
    
    — ...
    ... Allez ! Debout ! Debout ! On se lève !
    
    Je m’exécutai.
    
    — Bravo professeur coquin ! Et maintenant, on enlève son pantalon ! Hop ! Hop !
    
    Comment dire non ? Encore une fois, je lui obéis. J’avais toujours la trique.
    
    — Et puis non...
    
    Dit-elle déçue de son idée et mettant son poing fermé devant sa bouche, comme pour se concentrer. Quoi ? Pourquoi non ? Je commençais à m’inquiéter. Mais ça ne dura pas. Même cachée derrière son poing, l’étudiante coquine ne pouvait pas dissimuler le sourire qui venait d’apparaître.
    
    — Non : à poil ! Ha ! Ha ! Ha !
    
    A peine avait-elle crié ces mots dans une joie incontenable qu’elle se cacha le visage derrière les mains, comme si elle ne voulait pas assumer ce qu’elle venait de dire...
    
    — OK, étudiante coquine... Mais avant que j’enlève mon caleçon et mon t-shirt, il faut m’ouvrir ce joli chemisier.
    
    Elle se découvrit le visage. Et d’un air triomphant, elle commença à déboutonner son chemisier en se déhanchant, pendant que de mon côté, je m’exécutais.
    
    Son chemisier était déboutonné, mais elle avait pris soin de couvrir ses seins. Je m’approchais de Célia. Elle posa son index sur ma bouche, me poussant ainsi délicatement vers la chaise.
    
    — Allons, allons professeur... Il ne faut pas être impatient...
    
    Tout en me fixant droit dans les yeux, elle fit la moue, faisant mine de m’embrasser de loin et se pencha en avant, son chemisier s’entrouvrant et me permettant de contempler ses beaux seins si charmants et charnus... Elle passa ...
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