Le spectre
Datte: 16/12/2021,
Catégories:
f,
groscul,
bizarre,
Collègues / Travail
fsoumise,
contrainte,
cérébral,
revede,
noculotte,
Masturbation
massage,
caresses,
délire,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Antilope, Source: Revebebe
... remarquer d’une façon très lourde que ma pause n’était pas maintenant mais bien dans cinq minutes, et qu’il était très important pour lui que je respecte les horaires, que je n’étais pas sensée sortir de mon guichet à tout bout de champ et qu’il ne fallait pas que je reproduise les erreurs de la précédente hôtesse si je ne voulais pas être évincée du poste.
Il a ajouté qu’au cas où je ne l’avais pas remarqué, toutes les hôtesses étaient en jupes, et que je devais me conformer à cette règle.
J’étais sous le choc, et sur le coup, j’en ai oublié le frôlement de cheville qui paraissait dérisoire à côté de la violence de la réaction de mon chef. Je me disais que si c’était pour travailler dans cette ambiance-là, je n’allais peut-être pas rester longtemps.
Après ma pause, je suis retournée dans ma boîte pour finir l’après-midi et il n’y a pas eu d’autre incident. Je suis rentrée chez moi et j’ai passé la soirée seule, comme d’habitude. Cela faisait un certain temps que je n’avais pas de mec, et à part mon pommeau de douche, il n’y avait pas grand-chose qui me procurait du plaisir en ce moment.
Cette nuit-là, j’ai fait des rêves bizarres. J’étais sur une place, au milieu d’une foule qui m’ignorait totalement, et le bas de mon corps était entièrement nu, et ça ne m’inquiétait pas plus que ça de me balader la chatte et les fesses à l’air au milieu de tous ces gens.
Le lendemain, je suis retournée mécaniquement au boulot. J’avais mis une jupe longue en dessous des ...
... genoux. Mon chef, après m’avoir fait remarquer que je comprenais vite, mais que la jupe était un peu longue, m’a rappelé que la première pause était à 10 h et qu’il ne voulait pas voir la porte du guichet s’ouvrir avant.
… Je me souviens m’être demandée comment j’allais faire si j’avais envie de faire pipi avant 10 h.
Le travail a repris gentiment, les gens venaient, je répondais à leur questions. Tout se passait bien. À 10 h, ma vessie était pleine, il était vraiment temps que j’aille faire un tour aux toilettes. Puis j’ai repris le travail.
C’est juste après ma pause que je l’ai senti de nouveau sur le bas des mollets, à travers mes collants. J’étais en train de parler à quelqu’un quand c’est arrivé, et à nouveau je n’ai pas pu retenir un cri de surprise. Le client s’est même inquiété pour moi.
Après m’être débarrassée de lui, j’ai sondé le dessous du guichet avec mes pieds, mais je ne rencontrais aucun objet.
Un rapide coup d’œil au guichet de mon chef m’a confirmé qu’il me surveillait du regard et qu’il n’était pas question de sortir de ma boîte.
J’ai donc pris sur moi. La « chose » avait disparu. Ouf.
Le soir, je suis rentrée chez moi. Nouvelle soirée seule devant la télé.
J’ai réalisé avec horreur que je n’osais plus poser les pieds par terre devant mon canapé et mon lit. Ça n’allait pas du tout, il fallait que je me reprenne !
Cette nuit-là, j’ai encore fait des rêves étranges : je marchais dans les hautes herbes, qui m’arrivaient jusqu’à la ...