Le spectre
Datte: 16/12/2021,
Catégories:
f,
groscul,
bizarre,
Collègues / Travail
fsoumise,
contrainte,
cérébral,
revede,
noculotte,
Masturbation
massage,
caresses,
délire,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Antilope, Source: Revebebe
J’avais accepté ce boulot à contrecœur. J’avais vraiment besoin de fric. Ce n’était pas vraiment pas fifou… mon boulot consistait à rester coincée une bonne partie de la journée dans un petit guichet au milieu du hall principal de l’aéroport et de renseigner les gens qui venaient poser des questions.
L’hôtesse précédente avait quitté son poste précipitamment et ils avaient besoin d’une remplaçante d’urgence pour désengorger les autres guichets de renseignement.
Il fallait parler anglais bien sûr, mais surtout il fallait bien présenter car ce guichet était une sorte de vitrine pour la principale compagnie aérienne.
Le guichet était tout petit. Il s’ouvrait sur le côté pour laisser entrer une personne et pas plus, et m’entourait complètement. Il montait jusqu’au-dessus du nombril et une fois fermé, on ne voyait dépasser que le haut de mon corps. Le tout était placé sur une marche : je serai comme une sorte de statue posée sur un piédestal.
Lors de l’entretien, on m’avait montré l’emplacement, et je me souviens que la première chose que je m’étais dite était que dans ce guichet, je pourrais être entièrement nue en dessous de la ceinture, personne ne s’en apercevrait.
Le lundi suivant, je suis arrivée pour prendre mon poste. Après une brève formation, j’ai pris place à l’intérieur de ma « boîte ».
J’avais mis une veste de tailleur en haut, et le pantalon qui allait avec en bas.
C’était encore plus petit que je ne m’imaginais. Je ne voyais même pas le bas de ...
... mon corps. Il m’était impossible de me baisser : si je faisais tomber mon stylo, il fallait ré-ouvrir la porte du guichet pour accéder au plancher.
Par malchance, je n’étais pas très fine, et j’avais même des fesses assez généreuses, qui faisaient que j’étais vraiment à l’étroit dans mon box, au point qu’il m’était difficile de passer la main pour aller chercher quelque chose dans ma poche par exemple.
Au bout de deux heures, ça se passait plutôt bien. J’arrivais à répondre assez facilement au gens qui avaient plutôt des questions basiques du genre « S’il vous plaît mademoiselle, où se trouve… ».
L’heure de ma pause arrivait. Il me restait cinq minutes à attendre. C’est là que je l’ai senti.
Je n’ai pas compris ce que c’était mais quelque chose s’est clairement frotté à ma cheville. Ce fut très furtif, et plutôt doux. Sur le coup, je n’ai pas pu éviter un cri. C’était tellement surprenant ! J’ai commencé à prendre peur et j’ai immédiatement ouvert le box pour voir ce qui se passait en dessous.
Comme je le pensais, il n’y avait rien, et la configuration du guichet ne permettait vraiment pas que quelque chose ou quelqu’un d’autre que moi puisse rentrer en même temps. L’n’y avait aucune ouverture d’aucune sorte
Est-ce que c’était mon imagination qui me jouait des tours ? En tout cas je n’étais pas prête de me mettre en jupe dans ce truc ! Ça non !
Je ne m’étais pas encore remise de ce qui venait de se passer, que mon chef a surgi de nulle part pour me faire ...