1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... tout-à-coup, les décroisait; ses gros seins s'agitaient dans tous les sens, au gré de ses gestes; tantôt ils se soulevaient lorsque sa respiration se faisait haletante lorsque le récit de ma mère se faisait plus précis et enivrant.
    
    De mon côté, toujours silencieux, je ne manquais rien de la scène et je n'avais pas assez de mes deux mains et de mes deux jambes pour toucher ces dames, me frotter à elles et entretenir leur désir.
    
    Je me consacrais surtout à Eva car j'adorais son corps pulpeux, mais je me penchais de temps en temps vers ma mère pour l'embrasser et lui caresser la poitrine ou le ventre afin de ne pas attiser sa jalousie et lui prouver que je ne l'abandonnais pas.
    
    J'aimais les seins de notre nouvelle amie et je les pelotais outrageusement. Je pinçais jusqu'à les faire rougir, ses grands mamelons et, très vite, j'avais compris que cette caresse plaisait beaucoup à l'intéressée car sa poitrine gonflait et devenait très dure dès que je m'y consacrais.
    
    Lorsque je l'abandonnais, c'était pour glisser une main sur le bas de son dos et puis entre la raie des ses fesses.
    
    Celles-ci étaient rebondies et le sillon était particulièrement profond. La sueur perlait à l'intérieur et facilitait l'introduction de mes doigts jusqu'au petit trou qui était très ourlé, preuve qu'il ne devait plus être vierge depuis longtemps. Je m'y introduisais sans difficulté et Eva, pour me montrer qu'elle appréciait cette intrusion, se penchait en avant sur la table pour se soulever ...
    ... légèrement et me donner d'avantage son cul, tout en poursuivant sa conversation avec ma mère.
    
    Alors, dès que je l'avais astiquée un peu de la sorte et lorsque l'histoire en était à un de ses passages croustillants, elle se mettait à gémir en fermant les yeux et elle jouissait ainsi par ses entrailles les plus secrètes.
    
    Lorsque ma mère en eut terminé avec notre histoire, Eva nous parla un peu d'elle.
    
    Elle semblait particulièrement mal dans sa peau.
    
    Délaissée par son mari, elle vivait très mal sa relative solitude, s'adonnant beaucoup à la masturbation et fantasmant sur toutes sortes de livres et de films pornographiques dont elle s'était constituée une collection qu'elle complétait sans cesse.
    
    Elle nous avoua qu'il lui arrivait, parfois, de prendre un amant, ou plutôt de se faire baiser par un inconnu lorsque les circonstances s'y prêtaient. Elle fréquentait, pour cela, un cinéma de banlieue, semblable à celui où nous étions allés quelques fois, ma mère et moi, et, à certaines séance, il s'y retrouvait une clientèle d'habitués qui faisait en sorte que très vite, dès l'extinction des lumière et le début du film, le spectacle était plus dans la salle que sur l'écran.
    
    Au fil des années elle avait eu un nombre incalculable d'amants de tous âges, de toutes origines, de toutes races et même des deux sexes, mais, avec l'âge elle se disait quelque peu assagie et, même si ses sens ne s'étaient pas calmés, elle avouait être devenue moins audacieuse et plus prudente dans ...
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