1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... sois ma chose, ma putain, mon esclave et que tu ne jouisses que quand je l'aurai décidé.
    
    Ce faisant, ma mère avait abandonné la poitrine et avait forcé le passage entre les cuisses, glissant la main entre les genoux pour les écarter, elle était remontée lentement sur le bas, en s'appliquant à étaler le sperme qui le maculait.
    
    Lorsqu'elle toucha le sexe, toujours protégé par le voile du slip, Eva poussa un soupir profond et s'ouvrit complètement. Le tissus, trempé, avait glissé à l'intérieur de la chatte et irritait le clitoris.
    
    Quant à moi, j'étais toujours debout devant elles. J'avais abandonné ma bitte qui était, maintenant à moitié débandée, tandis qu'un long fils de sperme pendait, suspendu au méat. Je les regardais faire, toute les deux, en me pelotant négligemment les couilles.
    
    -Avant qu'il me baise, je veux vous voir, toi la mère, et le fils, forniquer ensemble devant moi; je veux être le témoin de votre dépravation, dit soudain Eva.
    
    -Dans ce cas, vas, mets toi debout et déshabille toi; pendant ce temps je m'occuperai de lui car, comme tu peux le voir, il a bien besoin d'être aidé, si nous voulons qu'il soit capable de nous satisfaire.
    
    En prononçant ces parole, ma mère avait abandonné ses caresses sur Eva et s'était redressée, saisissant ma queue et la secouant avec une moue pleine d'ironie.
    
    Eva qui paraissait avoir quelque peu repris ses esprits, se leva péniblement et ma mère en profita pour m'attirer sur le divan, à côté d'elle.
    
    Je me suis ...
    ... effondré , ainsi, jambes écartées et ma robe de satin noir relevée jusque la taille.
    
    Ma mère m'attira dans ses bras et, tout en m'embrassant, me caressa les cuisses, juste à la limite du nylon.
    
    -Déshabille-toi, dit-elle, ce sera plus facile.
    
    En prononçant ces mots, elle commençait déjà à me déboutonner.
    
    La robe de soubrette vola au milieu de la pièce, mais elle voulu que je garde le porte-jarretelles, les bas et les chaussures. Elle se remis, alors, à me caresser les jambes, tout en me suçant un sein car elle savait que j'adorais cette gâterie.
    
    Ma bite avait repris sa position au garde-à-vous et ma mère l'avait enfournée dans sa bouche, me la tétant comme un sucre d'orge.
    
    Eva, dont nous nous étions quelque peu désintéressés, s'était éloignée, pour mieux nous observer. Elle nous dévorait du regard tout en se pinçant un sein.
    
    -Enlève tous ces vêtements superflus, dit ma mère avec autorité, pendant ce temps je vais lui chevaucher la bite, mais ne crains rien, comme il vient de jouir une première fois, il résistera maintenant très longtemps et, avant que je l'aie épuisé, il pourra s'occuper de toi également.
    
    Eva ne se l'était pas fait dire deux fois et, avec des gestes précis, elle enleva tout se qu'elle portait à l'exception, comme moi, des bas et des chaussures.
    
    Quel spectacle extraordinaire que cette femme qui aurait pu être ma grand-mère, vu son âge, mais qui n'en avait aucunement l'apparence physique.
    
    Elle était magnifique, grande comme je l'ai ...
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