1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... donnaient un air particulièrement féminin et j'avais poussé la coquetterie jusqu'à me maquiller légèrement et à me peindre les lèvres en rouge écarlate.
    
    -Tu as vraiment l'air d'une fille, mon salaud, murmurai-je, tandis que je m'attachais la bite le long de ma cuisse gauche, au moyen d'un lacet de coton blanc, afin que ma virilité ne déforme pas le bas de la robe, lorsque je viendrais à bander, ce qui ne manquerait pas d'arriver tôt ou tard.
    
    Je pris alors la direction du salon, me dandinant avec excès, chaque fois que je passais devant un miroir et prenant des moues de vamp de manière caricaturale.
    
    Quand je suis entré dans la pièce où était restées les deux femmes, la tension qui y régnait m'apparut palpable; une odeur d'alcool flottait dans l'air qui se mêlait à celle du bois qui crépitait dans la grande cheminée.
    
    Ma mère et Eva étaient, maintenant, assises côte à côte dans le grand divan. Ma mère était très près de son amie et elle avait ramené ses deux jambes sous elle, tandis qu'elle avait passé son bras gauche sur l'immense dossier, derrière Eva.
    
    Sa position combinée à l'étroitesse de sa jupe faisait que celle-ci était complètement remontée et laissait apparaître les cuisses, jusqu'au-dessus de la lisière des bas.
    
    J'avais beau être entré depuis longtemps, maintenant, dans l'intimité de ma mère, une telle vision ne me laissait jamais indifférent.
    
    De plus, Eva, quant à elle, avait les jambes croisées très haut, comme elle en avait l'habitude, montrant ...
    ... par le fait même, une bonne partie de ses longues jambes, et même, du côté de la jambe surélevée, le début d'une fesse.
    
    Dès mon entrée, l'attention toute entière s'était portée sur moi, mais personne ne pipait plus mot.
    
    La tension était extrême. Je m'étais mis à marcher lentement , de long en large dans la pièce, passant et repassant devant les deux femelles. Parfois je m'arrêtais et faisais mine de ramasser un objet sur le sol en me penchant du pus que je pouvais, jambes tendues, afin que ma robe courte remonte au milieu de mes fesses, à peine couverte d'un slip en voile de nylon, fendu dans l'entrejambe.
    
    Eva parla la première:
    
    -Je pense , ma chère, que ce n'est pas un spectacle pour une mère, que de voir son fils déambuler, ainsi vêtu et exhibant ses jambe et son cul. Mais, si je vois bien, ce spectacle semble te plaire, autant qu'à moi d'ailleurs, je l'avoue et tu semble apprécier la beauté du spectacle que ce petit salaud est en train de nous offrir. Il sait s'y prendre, ce petit morveux, malgré son âge, pour exciter deux vieilles salopes en chaleur, comme nous. Il a l'air de ne pas manquer d'expérience et je me demande de plus en plus si vous n'êtes pas, tous les deux, à me mener en bateau et à tenter de profiter de ma crédulité.
    
    Elle pris un air exagérément grave et interrogateur en toisant ma mère, comme si elle voulait l'impressionner et la forcer à se confesser, mais, tout de suite elle enchaîna:
    
    -Dis-moi, n'aurais-tu pas, déjà, commencé l'éducation ...
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