L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... froides.
C'était, toujours, le même rituel. Eva était là dès le petit déjeuner qu'elle prenait avec nous et ensuite elle aidait ma mère à préparer le rpas de midi.
Eva était une dame d'une soixantaine d'année, encore très belle et très grande. Elle était un peu forte, comme souvent le deviennent les femmes d'un certain âge, mais pas trop. Ses jambes étaient magnifiques, d'un galbe parfait à la peau très lisse. Malgré son âge, elle n'hésitait d'ailleurs pas à s'habiller très court, et cela lui allait à ravir.
Elle s'était un peu épaissie du ventre et des épaules, mais l'ensemble restait d'un aspect bien agréable à regarder. Ses seins énormes se dressaient encore fièrement. Sa rousseur naturelle lui donnait un teint laiteux particulièrement distingué et, de plus, elle savait s'habiller pour mettre l'ensemble en valeur.
C'est en pensant cela que je l'observais, à la dérobade, par dessus le livre que j'étais sensé lire pour préparer les examens scolaires du premier trimestre.
Nous étions assis, ma mère, Eva et moi, dans le petit salon. J'occupais, à moi seul, le grand divan dans lequel j'étais affalé; ma mère et Eva avaient chacune pris place dans un fauteuil profond.
Elles devisaient gaiement, tandis que, sans rien laisser paraître, je lorgnait sur la poitrine d'Eva et sur ses jambes.
Elle portait un pull de laine assez fin, noir comme sa jupe, mais très décolleté qui découvrait profondément sa gorge et la naissance de sa poitrine couvertes d'une myriade ...
... de taches de rousseurs.
Malgré la saison, ses jambes qu'elle croisait et décroisait sans cesse, étaient gainées de bas clairs et, enfoncée comme elle l'était dans la chauffeuse, je pouvais apercevoir la bande plus sombre du nylon et le début de la cuisse dont la peau très claire contrastait avec le tissu sombre de la jupe.
Jusqu'à ce que ces dames décident qu'il était l'heure de penser au déjeuner et qu'elles s'en aillent en papotant bruyamment dans la cuisine, j'ai pu me repaître de ce spectacle et le savourer de tout mon saoul.
Lorsque je fut seul, la vue fit place au fantasmes et je repassai en pensée toutes les images que je venais de voir, mais en les savourant et, bine sûr, en les édulcorant.
Je bandais et il fallu que je glisse une main sous l'élastique de mon pantalon pour me caresser un peu la bite et soulager quelque peu la tension qui me taraudait.
Cette femme mûres, il me la fallait; même si je devais avoir recours à la complicité de ma mère, j'étais décidé à mettre tout en œuvre pour qu'elle soit mienne.
Je décidai, donc, de mettre un plan à exécution pour arriver, tôt ou tard à mes fins.
Puisque l'heure du déjeuner approchait, je me dis qu'il serait peu être judicieux de prendre un apéritif. L'alcool a, paraît-il, pour effet de détendre l'atmosphère et cela ne pourrait que m'être profitable.
Lorsque je suis entré dans la cuisine, les deux femmes bavardaient de choses sans importance en vacant aux préparatifs du déjeuner.
-Mesdames, je ...