L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... c'est bon! Que j'aime ce que vous me faites subir. Je sens que je vais décharger bien vite et que je vais exploser par tous mes trous.
Je l'entourais de mes bras et, tandis que je lui embrassais goulûment le cou, je lui pinçais et lui titillais les mamelons.
Il s'était redressé, se tenant des deux mains aux hanches de Gérard et tentait de tourner la tête pour m'attraper la bouche et me sucer la langue. Gérard, quant à lui, avait le visage enfoui dans les draps du lit qu'il mordait pour ne pas hurler, tellement le plaisir d'être ainsi enculé le dévastait et il se caressait la queue violemment.
-Attends nous, ne jouis pas avant, dis-je à René, ce ne sera pas long car je sens que je vais te remplir le ventre de mon sperme bouillant, mais je veux que ce sois ou moment où tu te déverseras dans Gérard.
Accordant ainsi la montée de notre plaisir, l'instant fatidique approchait de plus en plus vite et tout à coup, René cria qu'il ne pouvait plus se retenir.
Alors Gérard se redressa sur se genoux, face au miroir, serrant un peu plus ses fesses et précipitant l'explosion.
-Cà y est, je crache! s'exclama René, je lâche tout! Je l'emplis ce petit pédé qui m'excite tant!
Ses seins que je pelotais toujours étaient devenus très durs et je m'imaginais le tableau que nous offrions à ma mère qui devait, de l'autre côté de la vitre sans tain, se défoncer le sexe et s'arracher les seins de plaisir.
Immédiatement, à cette pensée, je me mis aussi à jouir abondamment, en ...
... même temps que la quéquette de Gérard lançait se longs jets de jus contre la porte et dans la direction de mon espionne chérie.
Il nous fallu de longues minutes pour redescendre sur terre et pour nous ressaisir.
Lentement je retirai ma bite ramollie de son étui de chair et René se sépara aussi de Gérard.
Devant mes yeux, j'avais ces deux derrières magnifiques, écartelés, et rosis par le plaisir, qui dégoulinaient de sperme.
La pièce sentait le foutre et la sueur.
Après quelque temps de repos, je chassai de mon mieux mes deux amis, de crainte qu'ils n'envisagent de prendre un douche, dans quel cas, ils auraient voulu pénétrer dans la pièce qui leur était interdite.
Tout se passa bien et je fis mine de ne pas apercevoir les œillades que les deux nouveaux amants s'échangeaient et de ne pas comprendre qu'ils allaient se retrouver chez René pour poursuivre ce qu'ils avaient si bien commencé chez moi.
Pour les presser, je leur dis que je craignais le retour de mes parents et l'argument sembla les convaincre à accélérer le mouvement.
Dès qu'ils furent rhabillés, je les reconduisis à la porte et, après un au revoir amical, je refermai celle-ci à double tour et je repartis, en courant, vers la chambre.
Ma mère était sortie de la salle de bain et s'était allongée sur le lit défait.
Elle était nue, ne portant que se escarpin noir, et elle semblait fourbue. Elle avait les yeux gonflés et regardait fixement le plafond.
Ses seins étaient rouges d'avoir été ...