1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... dans ma chambre, c'est là que j'étais occupé lorsque tu as sonné.
    
    Il parlait sans arrêt, me racontant sa vie d'étudiant, en ville, me narrant ses aventures manquées avec les filles qu'il trouvait toutes allumeuses mais trop réservées ; bref, il était toujours puceau et réduit à « la veuve poignet » comme il disait sans vergogne, en joignant le geste à la parole.
    
    Il s'était jeté en travers du grand lit et je m'étais assis à ses côtés, sagement.
    
    -Et toi, mon vieux, dit-il en posant une main sur ma braguette, toujours aussi réduit à te branler?
    
    Pour ne pas vraiment mentir, je ne répondis pas et fit un geste évasif des épaules qui ne voulait rien dire du tout.
    
    Il ne retirait pas sa main et, au contraire, la refermait en saisissant ma queue.
    
    Comme je ne portais pas de slip sous mon pantalon de lin, étant donné que je m'étais préparé à d'autres réjouissances, il pu s'en emparer comme si elle était nue et la sentir gonfler sous ses doigts.
    
    Nos habitudes d'antan refluèrent à la surface et je mes soumis bien vite au plaisir que son geste m'apportait.
    
    Je savais ma mère là, toute proche ; je l'imaginais déjà haletante, à dévorer ce spectacle inattendu en guise d'apéritif à celui que je me devais de lui offrir.
    
    Gérard extirpa ma bite de sa prison d'étoffe et, en m'entourant de son bras libre, il me bascula sur le lit et me prit la bouche dans un profond soupir.
    
    Je reçu sa grosse langue dans ma bouche et je me mis à la sucer, tandis qu'il me masturbait la ...
    ... quéquette avec douceur, mais conviction.
    
    Je ne voulais pas jouir, toutefois, et, avec regret, je m'arrachai à son étreinte en trouvant comme prétexte de vouloir ôter mes vêtements.
    
    Comme je n'en portais guère, ce fut vite chose faite et, lui-même, se dénuda aussi entièrement.
    
    Nous nous sommes alors recouché sur le lit en adoptant une position inversée de manière à pouvoir nous sucer mutuellement le sexe.
    
    J'avais discrètement imposé ce choix, car bien que j'adore cette caresse, je savais que je pourrais y résister très longtemps.
    
    Nous étions donc occupés à ces gâteries réciproques lorsque la sonnette retentit, à nouveau.
    
    Gérard tressaillit et je sentis sa bite ramollir directement dans ma bouche.
    
    Je fit l'étonné, mais me ressaisi sur le champ.
    
    -Ne bouge pas. Je dois te l'avouer, maintenant, mais ce n'est pas toi que j'attendais. Ne t'inquiète pas, il n'y a aucun problème ; reste là couché, à ton aise et je reviens bien vite.
    
    Je ne le sus que plus tard, mais j'avais à peine quitté la chambre, que Gérard se mit à fouiller dans mon armoire à la recherche d'un livre érotique et, lorsqu'il eu, enfin, trouvé ce qu'il cherchait, il vint se recoucher sur le lit et se mit à se masturber car il se croyait seul.
    
    Seul, il l'était effectivement, mais il ne pouvait pas savoir qu'une paire d'yeux avides l'observait et ne perdait rien de la scène.
    
    J'étais, donc, descendu nu, convaincu, cette fois, qu'il s'agissait de René.
    
    C'était bien lui. Il était en short ...
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