L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... les sous-vêtements et même porter les chaussures à hauts talons.
Il m'appelait « sa petite pute chérie » et il me faisait me promener dans la chambre et même dans la maison, ainsi habillé en femme.
J'étais très excité de m'exhiber ainsi et de me travestir. J'aimais sentir sur ma peau la chaleur électrique du nylon ; je m'excitais au contact des sous-vêtements, qu'en d'autres temps, chacun s'accorde à trouver inconfortables : j'étais très vite devenu expert pour enfiler un porte-jarretelles, un soutien-gorge, des bas très fins, j'avais appris à marcher correctement avec des escarpin à talons aiguilles.
Ces séances exhibitionnistes se terminaient chaque fois par des explosions de plaisir.
Il me voulait tantôt soumis, tantôt dominant.
Il me prenait sauvagement le cul et crachait son jus au plus profond de moi ou entre mes fesses, ou il se masturbait contre moi et se répandait dans le nylon froufroutant qu''l me faisait porter.
Quelque fois il me couchait en travers de ses cuisses et me donnait une fessée en me coinçant la bite entre ses jambes pour que je finisse par jouir à force d'avancer et de reculer mon cul sous l'impact des coups de plus en plus fort qu'il m'assénait.
D'autre fois, par contre, je le trouvais dans sa chambre, habillé, lui-même, en femme, occupé à se masturber en regardant des photos de sa regrettée Léa.
Je devais, alors, le dominer, le contraindre, le forcer, le punir de fautes imaginaires et il jouissait, après de longues minutes ...
... de ce traitement, tandis que je l'enculais, à genoux, en lui fouettant le dos et en l'insultant.
Dès le début, j'avais mis ma mère au courant de cette relation et cela l'avait immédiatement intéressée et excitée.
Dès ce moment, lorsque je lui faisais l'amour, ou qu'elle se masturbait allongée près de moi, je devais lui raconter, avec force détails, tout ce que je faisais avec René et elle me posait toutes sortes de questions pour en savoir plus.
Elle jouissait, ainsi, en parlant comme à son habitude car cela ajoutait à son plaisir de prononcer des mots orduriers :
-Tu n'es qu'un petit pédé. Tu aimes te faire branler la bite par ce vieux de René.
Je vous imagine en train de vous enculer comme des obsédés et me vous sucer la queue.
Espèce de branleurs, de jouisseurs. Je te vois, salaud, avec la longue bite de l'autre dans ta bouche, comme tu aimes çà, hein?
Et elle jouissait bruyamment, les yeux révulsés.
Un jour, elle m'avoua que son plaisir serait de nous observer lorsque René et moi, nous nous touchions.
-J'aimerais vous mater, avoua-t-elle, mais très discrètement, car je ne veux surtout pas être vue, car si cela se savait, tout le village serait vite au courant, et tu imagines la catastrophe!
A partir de ce jour, nous avons beaucoup réfléchi à la manière de procéder et nous avons fini par considérer que la seule manière réellement efficace, serait d'attirer René dans ma chambre en lui laissant croire que j'étais seul à la maison, tandis que ma ...