1. L'Education Sentimentale


    Datte: 08/08/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: bybobober, Source: Literotica

    ... fait beaucoup d'effet! Veux-tu t'en rendre compte par toi-même ,
    
    Et en disant cela, il s'était emparé de ma main et l'avait portée à sa braguette.
    
    Pour la forme, je faisais l'effarouché mais je ne m'éloignais pas et je repris, très vite, une attitude sereine.
    
    Il me disait :
    
    -Sens-tu comme je suis gros? As-tu déjà bandé? As-tu déjà eu, toi aussi, ta quéquette toute dure? Prend la mienne dans ta main et sens comme elle est raide.
    
    S'il avait pu savoir tout ce que savais déjà! Peut-être en connaissais-je plus que lui , malgré son grand âge!
    
    Mais, pour dire vrai, j'étais très émoustillé par la situation et je ne voulais rien manqué de cette opportunité de m'adonner, une fois de plus, à la débauche.
    
    Je me fis élève doué et compréhensif et je me mis à malaxer l'engin turgescent à travers la toile du pantalon.
    
    Il bandait ferme, le salaud et il soupirait déjà alors que je ne faisais que le caresser gentiment.
    
    En pédéraste égoïste, il ne s'occupait déjà bien sûr plus de moi, mais je lui dis :
    
    -Moi aussi ça me fait de l'effet toutes ces gravures et si tu veux que je soulage ta grosse queue, il faudra que tu t'occupes autant de la mienne.
    
    -Hé bien, espèce de petit cochon, tu ne manques pas d'audace, mais puisqu'il en est ainsi, tu vas en avoir pour ton compte! Déshabillons-nous, nous serons ainsi plus à l'aise. Nous sommes tranquilles, ici, personne ne risque de venir, il n'y a aucun danger.
    
    Joignant le geste à la parole, il ôta sa chemise, dégrafa ...
    ... sa ceinture et laissa tomber son pantalon en même temps que son slip.
    
    Il avait toujours un corps magnifique, malgré son âge ; c'était un sportif de longue date et il était très musclé. Il n'était, par contre, par très poilu, ce qui, tout compte fait me plaisait.
    
    Sa bitte, à demi-bandée pointait vers moi. Elle était très longue, mais plutôt fine et le volume de ses couilles contrastait par contre par sa grosseur imposante.
    
    Je l'avais imité dans ses gestes et je me retrouvais complètement nu, en même temps que lui.
    
    Il s'approcha de moi et en me serrant dans ses bras il se saisit de ma bitte qui était déjà très grosse.
    
    -Quelle belle bitte tu as déjà pour ton âge! Manifestement tu as déjà dû tirer dessus et j'étais bien naïf de te prendre pour un niais.
    
    Je sentais son souffle chaud dans mon cou et ma queue palpitait tellement que je croyais que j'allais jouir là, tout de suite, dans sa main.
    
    J'avais, toutefois, l'habitude de me contrôler et je teins bon.
    
    Lorsque sa bouche chercha la mienne je ne me dérobai pas et nos langues se mêlèrent avec ardeur. Je m'étais aussi emparé de sa bitte que je décalottais très fort pour frotter, ensuite de ma main libre, le gland que je sentais tout mouillé.
    
    René haletait dans ma bouche ; lui aussi, se retenait de jouir et tentait de faire durer ce plaisir dont il ne pouvait dissimuler l'intensité.
    
    Je me suis alors arraché à sa bouche et, en laissant courir ma langue tout le long de son corps, je m'accroupis lentement, ...
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