L'Education Sentimentale
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: bybobober, Source: Literotica
... amicalement. Décidément tu n'es jamais repu! ajouta-t-elle, en précisant : tu tiens à la fois, de ton père et de ta mère, déjà complètement obsédé, malgré ton âge!
-Cette nuit, nous avons fait des folies, nous avons baisé comme des bêtes ; je ne regrette rien et çà m'a beaucoup plu, mais si tu le veux, nous en resterons là, car tout cela est très mal et je comprendrais, bien sûr, que tu ne veuilles pas poursuivre, plutôt … entamer, une relation tout à fait interdite et contraire à la loi et à la morale.
-Il n'en est pas question, maman chérie! Il y a trop longtemps que je rêvais de ce qui vient de m'arriver, grâce à toi. Puisque tu es d'accord, continuons ; j'irai jusqu'où tu voudras, avec toi.
Elle ne put cacher sa satisfaction et me serra dans se bras nus.
La fin des vacances ne fut qu'une suite de coucheries et de baise effrénées.
Chaque jour, j'espérais au fond de moi-même que le temps serait mauvais pour nous donner prétexte à ne pas mettre le nez dehors et, par chance, je fus souvent, exhaussé .
Elle m'apprit tout ce que j'ignorais encore : elle me montra et m'expliqua comment lécher un sexe de femme ; comment le caresser de mes doigts, en découvrir et en exploiter tous les replis ; elle me fit découvrir comment ses seins pouvaient être sensibles aux caresses, mais si délicats, en même temps ; elle me guida pour que je sache comment les torturer sans les meurtrir pour l'aider à jouir lorsque le moment était venu.
Pendant ces jours de bonheur ...
... intense, elle m'apprit tout ce qu'un homme doit savoir pour plaire à sa femme et la satisfaire à l'envi.
Suivant son humeur, elle était tour à tour câline, tendre, autoritaire ; elle se montrait jalouse ou complice. Son tempérament changeant me confrontait à toute sorte de situations et cela ne faisait qu'ajouter à mon désir et à mon plaisir.
Lorsque nous allions à la plage, elle aimait m'exciter en me dévoilant, à l'insu de la foule qui nous entourait, toutes les parties les plus intimes de son corps car elle savait combien cela me faisait bander et me mettait au supplice.
Quand, par contre, nous étions dans la chambre à l'hôtel, elle se baladait torse nu, vêtue d'une jupe et de ses chaussures seulement.
Elle savait que j'appréciais par dessus tout, cette tenue car, selon moi, renforce l'impression de nudité et donnait à l'ambiance cette touche de vulgarité que j'aimais déjà à l'époque.
Lorsqu'elle se déplaçait, ses gros seins, bien que fermes, oscillaient et tressautaient d'une manière follement aguichante.
Elle ne profitait, alors, pour me les glisser sous le nez, en me servant une boisson, lorsque je lisais, affalé dans le grand divan et qu'elle trouvait que je ne me consacrais pas suffisamment à elle.
Ce fut évidemment des vacances magnifiques ; les plus belles que je connus jamais, mais les meilleurs choses ont une fin et il fallu rentrer.
La vie à la maison reprit son rythme habituel ; ma mère avait repris place dans le lit conjugal et quelque fois, ...