1. Le plaisir est dans l'ivresse (5)


    Datte: 10/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: pastresage, Source: Xstory

    ... arrive, elle a revêtu un peignoir type kimono en satin gris perle, presque blanc, son maquillage est assez souligné, ses lèvres garances éclatantes tranchent divinement avec son teint frais et opalin, son regard lui joue l’innocence, ses deux billes noisettes sont parées d’une fine couche de poudre vert sauge et sont sublimées par un mascara léger, ses cheveux lisses et plaqués se rejoignant dans une tresse chirurgicale sur le côté. Marie en devient nettement irrésistible...
    
    — Tu es...
    
    Je soupire timidement, marque un temps malgré moi comme si le qualificatif le plus adapté ne me parvenait plus...
    
    — ... sublime, épatante, je ... je n’ai pas de mot.
    
    — Merci, me lance-t-elle, mélangeant simplicité et timidité.
    
    Je pense même la voir sensiblement rosir.
    
    Je propose à Marie de faire ce qui lui passe par la tête, j’ai horreur des figures imposées, je lui suggère de jouer avec le fauteuil, de s’y assoir, mais surtout de ne pas prendre la pose sinon ce sera l’échec assurément. Elle me dit être un peu stressée. Je la rassure en lui disant qu’elle n’a qu’à faire ce qu’elle ferait en se détendant seule chez elle, mais de le faire en étant volontairement un peu plus sexy que d’habitude. Elle semble avoir compris.
    
    Je prends mon téléphone et pendant qu’elle s’installe, j’ouvre l’application musicale et lance le titre de Lenny. Elle sourit et semble se détendre.
    
    Pour la première série, Marie est recroquevillée sur le fauteuil, les mains jointes sous son menton, ...
    ... accoudée sur le rebord en cuir et ses jambes se réunissent sur l’assise du fauteuil. Je lui suggère de mimer regarder ce qu’il se passe dehors et dès que je vois sa nuque amorcer la rotation demandée, je commencer à shooter. Je vérifie le rendu, c’est vraiment réussi.
    
    J’ai du mal à me contenter du rôle de photographe, mais je m’efforce à maintenir un certain professionnalisme pour ne pas prendre le risque de rater cette séance photo. Peu à peu, à mesure des postures de Marie, j’en oublie presque la bête avide de débauche sexuelle qui semble s’être endormie. Une demi-heure passée comme un éclair et je demande à Marie de se relever.
    
    Je tourne le siège dos à la fenêtre en ouvrant largement les rideaux. J’ajuste les réglages de l’appareil pour que l’on ne puisse distinguer que les courbes de mon modèle.
    
    Marie a remis son kimono, et boit un rafraichissement. Je lui propose de continuer :
    
    — On reprend ou tu veux faire une pause ?
    
    — Non c’est bon, je commence à bien rentrer dedans, je me trouve même bonne.
    
    Bien entendu, elle est très sûre des mots qu’elle a choisis. Marie est loin d’une fille naïve.
    
    — Mouais, ça t’amuse coquine hein de jouer les allumeuses, allume-moi donc avec ton corps, on va se faire une petite série un peu plus chaude si tu veux.
    
    J’ai à peine le temps de finir ma phrase que Marie me dévore à travers l’objectif, quelle déesse, le sang d’Aphrodite doit couler dans ses veines, c’est une évidence.
    
    Par transparence, je devine le parcours de ...