Démonstration et corruption
Datte: 07/12/2021,
Catégories:
fff,
fagée,
jeunes,
Inceste / Tabou
profélève,
amour,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
lettre,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... avec amour. Ses mains entraînent le tissu jusqu’à mi-hanches, les lèvres transparaissent encore sous le voile. La pointe de la fente et la touffe de poils pâles demeurent visibles, tentatrices. Il s’en faut de peu qu’elles ne soient honorées d’un nouveau baiser.
Quatre doigts frôlent l’intérieur d’une cuisse, s’insinuent sous l’échancrure, caressent le creux de l’aine, repoussent la douce forme de la vulve, effleurent peut-être de leur pulpe la limite des nymphes. Certaine qu’ils préviennent un débordement inesthétique, l’autre main remonte la ceinture élastique vers la taille. Un fugace soupir traverse le sourire retenu de Marie-Blanche. Sans s’attarder à cette reconnaissance de son habileté, Sandrine s’empresse d’ajuster convenablement le sous-vêtement en répétant symétriquement les mêmes soins attentifs et, de fait, plus intrusifs.
Par sécurité, ensuite, elle glisse à nouveau l’extrémité des doigts sous le tissu pour le tendre au niveau du gousset et le lisser avec les pouces par-dessus le double bombement qu’il recouvre. Pour finir, elle défroisse le voile sur les fesses de la paume des mains, comme elle l’a vu faire par Déborah, passant outre le handicap de sa position qui l’amène à maintenir sa joue sur le ventre de sa maîtresse. Sans doute y retrouve-t-elle aussi les parfums subtils que ses multiples attouchements ont rendus plus puissants et dont elle s’éloigne à regret.
Marie-Blanche ne cache pas la satisfaction qu’elle retire de ces délicates ...
... prévenances. Sa soubrette s’est révélée une excellente élève, prompte à comprendre et à mettre en pratique l’art de la servir au-delà des souhaits exprimés. Que le résultat transgresse la bienséance de ses attentes ne la formalise pas. Preuve en est qu’elle prend les mains qui viennent de l’apprêter pour les serrer et en baiser le bout des doigts.
— Merci, Sandrine. C’était parfait !
Il y a tant d’heureuse reconnaissance dans les yeux de Sandrine que l’idée d’ajouter à ce bonheur s’impose spontanément pour Marie-Blanche.
— Après tout, j’étais plus à l’aise sans cette lingerie. Ça te ferait plaisir de tout retirer ?
Un visage rayonnant lui répond.
D’un passage à l’acte à l’autre, les masques de la morale tombent aussi vite que les libidos se libèrent. Que madame C** s’encanaille, mon Dieu, toute bonne bourgeoise peut s’autoriser une faiblesse momentanée. Que Marie-Blanche C** avoue implicitement des fantasmes d’adolescence, passe ! Que Marie-Blanche se laisse aller à masturber une amie de passage, passe encore ! Qu’une maîtresse de maison tolère un excès de familiarité de sa servante amoureuse, pourquoi pas ? Un accès d’indulgence l’expliquerait. Mais qu’elle provoque délibérément cette soubrette à réitérer son acte, là ce n’est plus la mansuétude qu’elle convoque, mais la turpitude…
Ce glissement vers la luxure débride les consciences. À quoi servirait la tentation si le péché est déjà consommé ? Te voilà bientôt sans emploi, ma démone lubrique ! Je ne crois pas, ...