1. Démonstration et corruption


    Datte: 07/12/2021, Catégories: fff, fagée, jeunes, Inceste / Tabou profélève, amour, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, lettre, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Son mouvement réduit la faible distance qui sépare son bassin de la jambe encore tendue et sa minette écartée rencontre les orteils soyeux de Marie-Blanche. Ni l’une, ni l’autre ne fait mine de le remarquer, mais je ne suis pas convaincue que chacune n’y ait pas mis un peu du sien.
    
    Quoi qu’il en soit, la culotte arrive maintenant à la lisière des bas de Madame qui offre à sa petite bonne une vue directe imprenable sur sa chatte, encadrée comme un tableau par les rubans du porte-jarretelles. Sandrine s’arrête, comme fascinée par ce sexe qu’elle n’a jamais détaillé d’aussi près et qui l’attire au point qu’elle avance la tête vers lui. Elle le contemple, figée comme un oiseau envoûté par un serpent (allez accuser Ève après ça !), le temps que l’ange du logis passe la tête, et se re-confine, horrifié. Puis, fermant les yeux pour mieux s’en pénétrer, elle inspire profondément, à pleines narines, les émanations sexuelles de sa maîtresse. Marie-Blanche, rougissante de plaisir plus que de confusion, cherche des mots aimables pour calmer cette ardeur sans la désespérer, mais la prière qui suit la prend au dépourvu.
    
    — Madame, je peux vous embrasser ?
    
    L’absence de réponse lui valant consentement, Sandrine étreint sans plus attendre les hanches sans résistance pour écraser son minois sur le minou humide. Elle y reste collée, le nez dans la touffe rare, à s’enivrer des senteurs désirées dont elle découvre enfin la réalité. Il y a de la dévotion dans cet hommage spontané, la ...
    ... ferveur d’une Vestale embrassant sa déesse.
    
    Il y a assez de finesse en Marie-Blanche pour le comprendre ou faire le lien avec ce qu’elle déduit de ta dernière recommandation à Sandrine ; assez d’intelligence, aussi, ou de désir, pour laisser l’adoratrice apprécier comme elle-même la douceur de ce baiser passionné, sinon interdit. Au bout de quelques secondes, elle se penche pour repousser tendrement, affectueusement, le front têtu de sa suivante.
    
    — Sandrine, il est temps de finir votre travail, dit-elle gentiment.
    — Oh, Madame, pardonnez-moi ! Je ne sais pas ce qui m’a pris.
    
    Elle lève vers sa maîtresse un regard éploré, le visage apeuré par la liberté qu’elle s’est permise. Marie-Blanche remet délicatement en ordre la coiffure ébouriffée et caresse avec douceur les joues frémissantes.
    
    — Je crois que je le sais, moi, lui dit-elle en souriant. Ne sois pas inquiète, tu ne m’as pas offensée. Mais continue, maintenant.
    
    Personne n’a pipé mot devant la scène inédite qui vient de se dérouler. Aucune de nous ne s’en est moquée, non plus. La sincérité évidente du geste et de son accueil nous a toutes surprises et charmées. Même les deux amoureuses, là-bas, ont suspendu leur branlette mutuelle. Même toi, qui ne t’attendais pas à un passage à l’acte aussi rapide après tes allusions suggestives.
    
    Sandrine poursuit sa tâche, superbement insensible aux regards braqués sur elle. Tout ce qui l’occupe c’est la chatte de sa patronne. La cacher lui coûte, mais elle veut le faire ...
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