Le Tournoi des six nations (2)
Datte: 25/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Lartmateur, Source: Xstory
... le pas de la décence. J’estime que le spectacle offert peut encore passer, mais que j’atteins la limite à ne pas dépasser. Thierry devient fou devant cette exhibition improvisée, mais il ne peut en profiter davantage. L’Anglaise me sourit et me décoche une œillade discrète, m’indiquant ainsi que le message est bien reçu et qu’elle a compris et qu’elle accepte le défi. Je suis ravie, une consœur qui a tout pigé et qui visiblement est sur la même longueur d’onde que moi. Rapidement, elle s’accapare mon Thierry, engage une conversation dont je ne saisis le moindre mot. Tout juste ai-je eu le loisir de le voir sursauter et encore je n’en suis pas certaine.
Un mouvement de foule, une vague provoquée par l’arrivée des petits fours sucrés les éloignent peu à peu de nous, jusqu’à disparaître de notre vision. Est-ce voulu ? Je le pense.
Avant qu’elle ne disparaisse, Madison s’est adressée à Gordon et les deux amants ont échangé dans leur langue natale.
— Honey I think this big slut needs a good blow from your cock, I’ll leave her to you, have fun, I’ll take care of her cuckold future husband, he’s not bad either.
— Thank you my little bitch, I love you.
Même si mon anglais est approximatif, je traduis le sens général par :
— Mon chéri je pense que cette salope a besoin de se faire sauter, je vous la laisse, je vais m’occuper de son mari, il n’est pas mal non plus.
— Cette salope, étant moi, je suppose. Je ne m’offusque pas de ses propos, c’est bien ce dont j’ai ...
... envie à ce moment-là.
Je suis rassurée tout de même, mon homme semble entre de bonnes mains.
Mon cœur s’emballe et une panique soudaine me gagne. Je résume la situation, la jeune femme souhaite relever mon challenge de femelle en chaleur, elle demande à son compagnon de s’occuper de moi, ce qui, personnellement me convenait parfaitement. Par contre, Thierry et moi-même n’avons pas échangé nos consentements. Non je ne peux pas... tout de même.
J’en suis à mon troisième verre de champagne et si la tête ne me tourne pas franchement, je réalise tout de même ne plus être en totale possession de tous mes moyens.
Pendant tout ce temps, ma main s’était enhardie, je branle René, qui a sorti sa queue de son pantalon, de plus en plus fort. Je suis étonnée qu’un homme de cet âge puisse encore bander de la sorte. Tous les convives sont agglutinés autour des tables et se goinfrent des sucreries. Nous sommes donc tous les trois, isolés derrière notre comptoir.
René veut me servir un autre verre de champagne que je refuse poliment. J’ai déjà bien assez bu à mon goût. Déçu, il n’a de cesse que de lorgner ma poitrine et ses doigts tentent à présent de défaire les boutons de mon pantalon. Je le laisse faire, au risque de me retrouver la chatte à l’air, au milieu de mes concitoyens, je suis folle. Le premier cède, suivi d’un deuxième, troisième... ma braguette est ouverte et René me somme de retirer mon pantalon. Je le regarde dans les yeux et d’une poigne ferme, mes doigts se ...