1. Le Tournoi des six nations (2)


    Datte: 25/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Lartmateur, Source: Xstory

    ... de dormir sur place et d’éviter ainsi de prendre la route en état d’ébriété. Il me propose de le « visiter ». J’accepte avec empressement.
    
    Au cul du camion, j’explique brièvement au géant le deal avec mon mari et le coup des messages. J’envoie « Pacte ». Si je reçois « Confiance » c’est bon. Mais si la réponse est « Pacte »... je n’envisage pas cette solution, Thierry ne me fera pas ça.
    
    Je sors mon portable et envoie le message libérateur à mon mari.
    
    [SMS, Céline]
    
    > Pacte
    
    La réponse se fait attendre et Gordon impatient, commence à m’embrasser dans le cou. Chatte, je me suis mise à ronronner en acceptant cette douce caresse. Il ouvre mon corsage, libère mes seins qu’il emprisonne dans ses mains de géant. Il reprend les caresses interrompues quelques minutes plus tôt. Les seins exposés à la vue de tous, j’ai beaucoup de mal à le contenir. Il commence à me dévorer, téter. Je gémis. A ce rythme-là, nous allons faire l’amour, là, sur le parking, et j’avoue que l’idée ne me déplaît pas. Je me laisse faire tant je suis échauffée. Tant pis... ce ne sera pas le premier coup de canif (désolée mon chéri).
    
    Je n’ai pas lâché mon portable qui vibre enfin dans ma paume. Telle une collégienne qui attend une réponse de son premier amour, je lis le message.
    
    [SMS, Titi]
    
    < Confiance
    
    Je me tourne vers l’anglais qui lui aussi attend la réponse salvatrice.
    
    — We can fuck as you want !
    
    Tel un gosse à qui l’on vient d’offrir une friandise, le visage du British ...
    ... s’illumine d’un large sourire. Il me prend dans ses bras et me projette à l’intérieur de la camionnette.
    
    Le tour de la « chambre » est vite fait, l’aménagement est rudimentaire. Un lit « King size » trône en plein milieu de la caisse sur lequel des duvets sont ouverts, quelques jerricans d’eau posés au fond. Je n’ai pas le temps d’en voir davantage. A peine la porte refermée, Gordon me retourne, m’attire à lui, me soulève de terre pour porter mon visage au niveau du sien. Il tient tout juste debout. Il approche ses lèvres et commence à m’embrasser doucement dans le cou, remonte peu à peu et finalement s’empare de ma bouche. Sa barbe est comme une seconde caresse qui exacerbe mes sens. Les bisous tendres font place très a une gamelle des plus royales. Les festivités commencent. Nos lèvres se dégustent, nos langues tournoient, s’entremêlent, s’enroulent, nos dents s’entrechoquent. L’un et l’autre avalons nos salives réciproques, nées de ce combat lingual. Nous sommes soudés dans un baiser des plus fougueux.
    
    Je ne pense pas avoir eu un jour un tel paroxysme avec mon époux (re désolée mon chéri). C’est incroyable, nous sommes deux êtres qui se désirent. Nos corps montent en température, mes seins durcissent, ma chatte suinte, dégouline de cyprine. Sans nous désunir, lentement il me dépose sur le lit. Mon chemisier vole vers les sièges avant du camion. Ma poitrine, gonflée de désir, aux larges aréoles brunes et aux mamelons dressés, réclame que l’on s’occupe d’eux. Jamais mes tétons ...
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