1. Tranches de vie


    Datte: 07/08/2018, Catégories: jeunes, inconnu, uniforme, plage, boitenuit, pénétratio, nostalgie, Humour Auteur: Someone Else, Source: Revebebe

    ... n’empêcha pas mon cœur de repartir en zone rouge en la voyant apparaître dans une petite robe à fleurs que je n’ai par ailleurs jamais oubliée.
    
    Le repas fut excellent, on s’en doute, mais le meilleur restait à venir…. Quelques baisers passionnés plus tard, nous entrions dans la chambre.
    
    — N’oublie pas : je veux que ce soit inoubliable, m’avait-elle glissé à l’oreille.
    
    Et inoubliable, ce le fut… Elle voulait de la tendresse, rien que de la tendresse, des monceaux de tendresse ; vous vous doutez bien que j’allais tout faire pour exaucer ce vœu !
    
    La robe qu’elle portait ce soir-là était fermée sur le devant par des dizaines de petits boutons que j’allais ôter un à un… sans oublier de couvrir de baisers la moindre petite parcelle de peau que je découvrais.
    
    À ma grande surprise, sa poitrine était nue sous le fin tissu. Certes, elle n’était pas bien volumineuse, mais j’avais apprécié l’intention… Par contre, et malgré l’envie qui me tenaillait, il était hors de question pour moi d’aller en prendre les pointes entre mes lèvres avant de les mordiller comme cela se fait si souvent ! Non, je me devais de me glisser dans le costume du gentleman qu’elle m’avait demandé d’être… Mais cela ne m’avait pas empêché d’aller titiller ces adorables petits seins en les effleurant de mes lèvres.
    
    Un peu plus bas, juste au niveau de son nombril, j’avais eu une autre surprise encore bien plus inespérée : je venais de buter sur une étroite bande de dentelle que j’avais immédiatement ...
    ... identifiée comme un porte-jarretelles. Alors là, si je m’étais attendu à cela ! La culotte qui n’allait pas tarder à apparaître quelques instants plus tard était certes assortie, mais offrait le suprême raffinement d’être quasiment diaphane, me dévoilant par transparence une adorable petite touffe brune, taillée exactement comme j’aime… Et comme un ravissement ne vient jamais seul, Alexandra avait également eu la bonne idée de la mettre la culotte en question sur le porte-jarretelles et non dessous, gage d’un plaisir mutuel et décuplé lorsque viendrait l’instant où je la ferais glisser sur ses hanches !
    
    Mais pour l’heure, rien ne pressait, d’autant qu’il me restait une bonne trentaine de centimètres de robe à déboutonner. Alors, faisant mine d’ignorer ce buisson palpitant et surtout son délicat parfum de femme qui s’en dégageait, j’avais repris l’ouvrage là où je l’avais laissé… jusqu’à ce je puisse enfin ouvrir les deux pans de cette satanée robe et découvrir ce corps sublime.
    
    Et là, tout en respectant mes engagements, je décidai de passer à quelque chose d’un tout petit peu plus concret. Poser mes lèvres à l’extrême bordure de sa culotte ; ne la descendre que de quelques millimètres… Entendre Alexandra gémir et voir son ventre palpiter. M’attarder longuement sur cette petite bande de chair nue, juste entre la lisière des bas et les portes du paradis – je ne vais pas vous refaire le coup des portes de l’enfer, puisque Satan l’habite – et l’entendre soupirer de nouveau… ...
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