À prendre ou à laisser
Datte: 23/11/2021,
Catégories:
ff,
Collègues / Travail
amour,
humilié(e),
contrainte,
Oral
policier,
Auteur: Jane Does, Source: Revebebe
... ordures était aujourd’hui récompensée. Ils avaient tous payé pour ses maux qu’elle avait endurés. Mais ça ne la rendait pas plus joyeuse pour autant. Non ! Sa vie, sa sexualité avaient du plomb dans l’aile. Impossible de voir dans les mecs qu’elle croisait autre chose que des bourreaux potentiels.
Incapable de vivre des amours normales, Hélène enviait ces deux femmes qui lui prouvaient par A plus B que tout était encore possible. Après plus de vingt années passées à avoir peur, une petite lumière d’espoir s’allumait là, dans ce décor d’un restaurant où elle gagnait sa croûte. Alors lorsque les deux femmes qui visiblement se montraient de l’affection lui avaient souri… elle aurait tout donné pour un instant d’un tel bonheur. Lorsque celle qui paraissait la plus âgée s’était éclipsée vers les toilettes, que l’autre n’avait pas tardé à la suivre, Hélène aurait tellement voulu voir, savoir ce qu’elles se faisaient.
Les prunelles brillantes, celle que sa compagne appelait Maryse était venue régler la note. Leurs regards s’étaient aussi un instant mélangés et Hélène voulait y lire une promesse. Celle de se revoir peut-être ? Celle de ne plus être seule avec ses fantômes. Celle de ne plus sentir le poids de ce qu’elle avait fait, pour retrouver le calme et surtout… pour que plus une femme ne subisse ce que ces gars, ou plus exactement ces animaux qui ne méritaient pas la dénomination d’homme, étaient capables de faire…
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Les quelques verres d’alcool pris au ...
... cours de la dînette amplifiaient les émotions chez les deux nymphes. Ils décuplaient également les envies sensorielles. C’était donc sans y réfléchir plus que cela qu’elles avaient de nouveau partagé la même couche. Des mains baladeuses, des bouches voraces, tout était matière à se donner du plaisir. Et comme dans toutes choses, l’expérience entraînait aussi une plus grande liberté de mouvement, en décomplexant totalement les deux femmes qui savaient désormais, ce que l’autre attendait.
La fin de nuit avait été agitée. Pour la première fois aussi, Anita avait osé sortir des accessoires qui, s’ils ne remplaçaient jamais un sexe d’homme, pouvaient pour une partie de « cul » ponctuelle, donner le change. Les avantages d’une queue sans les inconvénients qui l’accompagnaient trop souvent. Un bon compromis dont les deux lèche-foufounes s’accommodaient aisément. Dans les caboches qui s’activaient entre les cuisses, ou sur toute autre partie du corps des deux partenaires, le derrière de la serveuse à lunettes s’imprimait en filigrane.
Aucune n’en avait expressément parlé, et pas question de la mettre sur le tapis ou entre elles lors de leurs ébats plutôt… poussés. Mais indéniablement cette femme avait du chien. Une sorte d’aura qui ne passait pas inaperçue. Alors après qu’à tour de rôle elles eussent joui, que le calme revenait dans la chambre où les mains restaient jointes, cette Hélène faisait l’objet de toutes les pensées. Aucune n’en parlerait avant d’avoir discuté avec cette ...