1. À prendre ou à laisser


    Datte: 23/11/2021, Catégories: ff, Collègues / Travail amour, humilié(e), contrainte, Oral policier, Auteur: Jane Does, Source: Revebebe

    ... Ouais… je vais te tartiner le dos.
    
    Il avait attrapé le flacon qu’elle lui tendait. Son journal posé sur le côté, elle savoura les allers et retours des pattes qui l’enduisaient d’une crème anti-coups de soleil. Ce n’était pas fait pour arranger l’état de son mâle. Son caleçon de bain se déformait au rythme de ses bras qui balançaient ses mains. Pour le taquiner, l’exciter peut-être encore davantage, elle aussi avança sa menotte vers la bosse, heureusement invisible des autres plagistes. À genoux dans le sable, Jacques caressait donc sa belle. Il n’omit rien, pas un centimètre carré de cet épiderme doré comme un « Petit Lu ».
    
    Il s’offrit même le luxe de tripoter la partie des seins qui débordait sur le côté de la natte. Élyse se retint pour ne pas soupirer ou gémir. Ses plus proches voisins auraient pu être alertés par ses manifestations intempestives déplacées, dues aux attouchements particuliers de ce mari amoureux d’elle… pour le moment. Au bout d’elle ne savait pas combien de temps, le feu était aussi en elle. Alors, elle se retourna vers Jacques, la voix rauque d’un coup.
    
    — On rentre ?
    — Si tu veux.
    
    En quelques mouvements rapides, tout leur matériel de parfaits vacanciers était fourré dans le sac de la femme. C’était donc main dans la main qu’ils retraversaient la plage, évitant les corps alanguis au soleil d’été. En louvoyant, ils parvinrent finalement à reprendre le chemin sablonneux qui menait à leur appartement. Ils n’avaient guère eu à marcher que six ...
    ... ou sept minutes. L’orage qui les tenaillait n’avait cessé de titiller leurs sens. La porte à peine franchie, Jacques se jeta sur Élyse. Il n’y avait que bien peu à retirer. Deux misérables slips de bain qui filèrent vers le carrelage nickel de ce loft océanique.
    
    Et si les jeunes d’à côté dormaient, eh bien ce n’était que justice que les cris diurnes de l’épouse les réveillât. Un juste retour des choses pour les punir de les ennuyer toutes les saintes nuits. Un corps à corps fabuleux réunissait ces deux vieux amants qui se connaissaient si parfaitement. Un atout pour chacun d’eux de savoir ce que l’autre attendait. Une osmose parfaitement agencée et les arguments déployés pour se donner du plaisir avaient la priorité. Il ne pouvait en résulter qu’une jouissance à la hauteur de leur désir. Élyse eut un orgasme lent à monter, mais si savoureux à déguster. Quant à Jacques… si la coulée de lave était moins violente avec l’âge, elle n’en demeurait pas moins exquise.
    
    Après la partie de jambes en l’air orchestrée avec maestria par la belle Élyse, une douche s’avérait nécessaire. L’endroit du loft pour se passer sous l’eau, trop exigu pour les recevoir les deux ensemble, elle y passa la première. Puis comme le soleil tapait toujours aussi fort, pas besoin de se vêtir. Si d’aventure les jeunes du logement accolé au leur, l’apercevaient, ils n’auraient que des regrets. Elle s’étala de nouveau, mais cette fois sur un transat sur la terrasse. Son journal refit surface et elle acheva ...
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